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Canine Academy : Canibest décrypte la série

Canine Academy : Canibest décrypte la série

Depuis le 24 février 2021, la plateforme de streaming Netflix propose à ses abonnés une nouvelle série de télé-réalité sur l’éducation canine mettant en scène nos amis à quatre pattes et leurs maîtres. Son nom : Canine ACADEMY.

Dès sa sortie, Canine ACADEMY a déchaîné les réseaux sociaux. Canibest a donc visionné Canine Academy et vous livre ses avis sur le show.


De quoi parle Canine Academy ?

Au long des six épisodes de cette mini-téléréalité, nous suivons le quotidien d’un éducateur canin américain et nous sommes rapidement initiés aux méthodes qu’il emploie auprès des chiens aux comportements déviants. 

Nous sommes présentés à différentes problématiques :  un pitbull agressif, un berger allemand très agité, le renforcement d’un chien de défense, un caniche qui n’obéit pas, des chiens de refuge non éduqués…

L’éducateur a pour mission, à chaque épisode, de régler le problème rencontré et utilise pour cela ses propres méthodes, auxquelles il initie les maitres.


Quelles sont ces méthodes ?

Les méthodes mises en avant par l’éducateur sont dites « positives », c’est en tout cas ainsi qu’il les présente à ses clients, car elles sont sans violence.

Toutefois, il serait bon de s’attarder quelques instants sur ce qu’on entend par « éducation positive ». Ce terme implique bien sûr l’exclusion de la violence…. Mais à bien y réfléchir, toute notion d’éducation l’écarte, sinon ce n’est plus de l’éducation mais de la maltraitance…. Pour autant l’éducation positive, bien au-delà de la violence, sous-entend l’absence de contrainte pour l’animal… et là, force est de constater que la contrainte est TRES présente dans les méthodes utilisées dans cette série.

L’éducation positive exclue également toute notion de hiérarchie ou de dominance. Ainsi, le maître du chien n’est pas considéré comme le « chef de meute », le chien sachant très bien différencier l’inter-spécifique (relation humain-chien) de l’intraspécifique (relation chien-chien). Et en aucun cas l’éducation positive ne sous-entend un rapport de force entre l’homme et le chien pour obtenir de lui de l’obéissance. L’éducation positive conçoit la relation homme-chien comme une relation de confiance à travers laquelle on renforce l’intérêt du chien à obéir à son maître par des récompenses positives auxquelles il est particulièrement sensible.

Autant dire que les laisses courtes en tension permanente avec coup de saccades pour faire marcher le chien au pied, les colliers étrangleurs en métal ou les boîtes en bois ne font par partie de l’équipement de base de l’éducateur en méthodes positives. Le collier étrangleur dit « d’éducation » est un outil douloureux pour le chien qui est censé lui rappeler « où est sa place ». En conséquence, les chiens obéissent par peur de l’étranglement ou pour éviter la douleur. On est très loin du lien de confiance entre maître et chien…. De plus, une mauvaise gestion de la laisse peut renforcer des comportements non désirés ou encore les dévier. C’est d’ailleurs le cas dans les situations où une tension constante est exercée sur la laisse.

Travailler sur les « réactions » comme cela peut être le cas dans la série est une approche risquée avec des animaux qui ne sont pas stables émotionnellement…. et malheureusement, un éducateur canin ne travaille souvent qu’avec ce type de profils.

La récompense alimentaire, dans l’éducation positive, doit être utilisée à bon escient et n’a pas d’intérêt si elle est mêlée à de la coercition car le chien n’associe alors pas le fait de bien faire à la récompense.

Et les signaux d’apaisement alors ?

Le visionnage de la série nous a permis de constater que de nombreux chien émettaient des signaux d’apaisement très visibles lors des séances d’éducation. Toutefois, on peut s’étonner que l’animateur du show n’en parle jamais à ses clients…

Les signaux d’apaisement sont en effet la manifestation d’un stress chez l’animal qui, pour diminuer ce stress, va tenter de s’apaiser par différents moyens. Se lécher la truffe rapidement, détourner la tête, baisser les oreilles, bailler…. sont autant de signes très repérables à condition bien sûr d’avoir appris à les reconnaître…. Mais cela ne semble pas être le cas de l’éducateur du show.

Quelles sont les méthodes employées par Canibest ?

Chez Canibest nos éducateurs utilisent les méthodes de renforcement positif à l’aide de jeux, de câlins ou de nourriture, toujours dans le respect de l’animal, de son bien-être et sans aucune douleur.

Les chiens apprennent la marche en laisse de manière progressive avec des laisses longues et détendues et nos éducateurs préconisent les colliers plats.

Nous pouvons faire appel à un support pour apprendre au chien à se canaliser via un élément visuel. Cela aide l’animal à se positionner dans l’espace mais il faut malgré tout rester vigilant à ne pas être trop imposant avec le chien ou cela pourrait dévier des comportements.

Par-dessus tout, l’éducateur doit permettre au maître de comprendre son chien dans ses réactions et ses agissements. Il doit donc lui donner des clés de compréhension car c’est l’homme qui doit se mettre à la portée de l’animal. L’inverse est en réalité impossible, sauf par la force. Il est donc très important de sensibiliser les maîtres au bien-être animal et aux besoins physiologiques de leur compagnon, notamment le besoin de courir et de se dépenser physiquement.


CONCLUSION :

Vous l’aurez compris, Canibest ne mettra pas un pouce levé sur la série. Cette approche est assez simpliste et nous craignons qu’elle ne fasse plus de mal que de bien à la profession. A la fin de chaque épisode, les chiens obéissent, mais pour combien de temps et dans quel état émotionnel ?

Comme nous l’avons déjà dit plus haut, il ne s’agit pas de dire que l’on fait de l’éducation positive pour que ce soit vrai. L’éducation positive est avant tout un état d’esprit qui prône d’abord le respect de l’animal et la relation d’affection et de confiance avec l’homme. Cette éducation permet des résultats à long terme en préservant la stabilité comportementale de l’animal.

Ce que nous avons vu de la série ne nous permet pas de confirmer cette approche.

Les approches coercitives ont certes un public, et la démonstration d’autorité et de « dominance » à l’écran plaira certainement à plus d’un propriétaire de chien, mais il ne faut pas se tromper, ce ne sont pas des méthodes positives ! Il faut être conscient des risques des méthodes coercitives qui peuvent mener à la peur, la frustration, voire l’agressivité pour les individus les plus fragiles.

Cependant, nous recommandons l’émission “Pitbulls et prisonniers”, où des prisonniers oeuvrent de façon efficace dans la réinsertion des chiens difficiles. Un épisode disponible ci-dessous :

le blog de Canibest

Matthew Perry : Le rôle salvateur de son chien durant les épreuves
Matthew Perry : Le rôle salvateur de son chien durant les épreuves
Avec le récent décès de Matthew Perry le 28 octobre 2023, le monde a perdu non seulement un acteur talentueux mais aussi un amoureux des chiens. Connu principalement pour son rôle de Chandler Bing dans la série "Friends", sa passion pour les chiens offrait un aperçu touchant de sa vie hors écran. Matthew Perry n'était pas seulement l'acteur drôle et sarcastique que le monde adorait. Derrière ses blagues se cachait un homme ayant traversé de nombreuses épreuves personnelles, notamment des problèmes d'addiction et des épisodes dépressifs. Durant ces moments sombres, un être fidèle l'a toujours accompagné : son chien.

Un refuge constant dans la tempête

Les animaux ont cette capacité unique d'offrir un réconfort silencieux. Pour Matthew, son chien représentait bien plus qu'un simple compagnon : il était un refuge, une présence constante qui lui rappelait l'amour inconditionnel même pendant ses jours les plus sombres. Dans un monde où la pression et le jugement peuvent être écrasants, son chien lui offrait un répit, une bulle de simplicité et de sincérité.

Lutter contre l'addiction avec un compagnon à ses côtés

Matthew Perry n'a jamais caché ses problèmes d'addiction, et son combat public contre ses démons personnels a été une source d'inspiration pour de nombreuses personnes traversant des épreuves similaires. Au cours de ces périodes, la présence de son chien à ses côtés a été cruciale. Alors que les médicaments et la thérapie jouaient leur rôle dans son rétablissement, la loyauté et la constance de son chien étaient une thérapie en soi.

Des moments de dépression apaisés par une présence canine

La dépression est un combat silencieux, souvent invisible aux yeux du monde extérieur. Matthew, malgré son statut de célébrité, n'était pas à l'abri de ces moments de désespoir. Son chien, avec ses yeux compréhensifs et son affection sans jugement, était là pour lui rappeler qu'il était aimé sans condition, un pilier sur lequel s'appuyer dans les moments de vulnérabilité. La vie de Matthew Perry, bien que pleine de succès et de reconnaissance, n'était pas sans ses défis. Et à travers chaque épreuve, chaque moment de doute, il avait à ses côtés un compagnon silencieux mais puissant : son chien. Cette relation illustre profondément le pouvoir guérisseur des animaux et rappelle à quel point ils peuvent être essentiels dans nos vies, surtout lorsqu'on traverse des moments difficiles.
Le syndrome de Noé : Une exploration approfondie
Le syndrome de Noé : Une exploration approfondie
  Le syndrome de Noé, bien que moins connu du grand public, est un trouble qui touche de nombreuses personnes à travers le monde. L’accumulation compulsive d'animaux peut avoir des conséquences dévastatrices tant pour les individus concernés que pour les animaux sous leur garde. Penchons-nous de plus près sur ce phénomène.

Qu'est-ce que le syndrome de Noé ?

À la base, le syndrome de Noé est un comportement d’accumulation compulsive d'animaux. Les personnes atteintes ont tendance à recueillir chez elles un nombre d'animaux bien supérieur à ce qu'elles peuvent réellement gérer. Bien que leurs intentions soient souvent bonnes, pensant sauver ces animaux, la réalité est bien différente, aboutissant à une négligence involontaire et des conditions de vie insalubres. L'appellation provient du récit biblique de Noé qui a sauvé un couple de chaque espèce animale de l'extinction lors du déluge. Les personnes souffrant de ce syndrome croient souvent qu'elles "sauvent" de manière similaire les animaux qu'elles recueillent, même si leurs actions peuvent involontairement causer plus de tort que de bien.

Quelles sont les causes profondes du syndrome de Noé ?

Comprendre le syndrome de Noé nécessite une exploration des multiples facteurs pouvant conduire un individu à un tel comportement. Bien que chaque cas puisse être unique, certaines causes communes et interdépendantes ont été identifiées : Facteurs psychologiques : Traumatismes passés : Des expériences traumatiques, comme la perte d'un être cher, peuvent pousser une personne à combler ce vide en recueillant des animaux. Les animaux peuvent offrir un sentiment de compagnie et d'objectif qui manque autrement. Troubles obsessionnels-compulsifs (TOC) : Le besoin de sauver ou de recueillir des animaux peut être un comportement compulsif déclenché par des pensées obsessionnelles concernant la sécurité ou le bien-être des animaux. Faible estime de soi : Accumuler des animaux peut donner à la personne un sentiment d'importance ou de but, renforçant ainsi une estime de soi autrement basse. Facteurs sociaux : Isolement : Les personnes socialement isolées peuvent être plus enclines à se tourner vers les animaux pour obtenir de la compagnie ou un sens à leur vie. Antécédents d'abus ou de négligence : Les individus ayant subi des abus ou de la négligence dans leur passé peuvent, inconsciemment, reproduire ces schémas sur les animaux, même si leur intention initiale est de sauver ou de protéger ces créatures. Normes culturelles ou communautaires : Dans certains contextes, l'accumulation d'animaux peut être considérée comme une norme ou même une vertu, renforçant ainsi ce comportement chez certains individus. Facteurs neurologiques : Anomalies cérébrales : Des recherches suggèrent que des anomalies dans certaines régions du cerveau, en particulier celles associées à la prise de décision, au contrôle des impulsions et à la régulation des émotions, pourraient être liées à des comportements d'accumulation. Déséquilibres chimiques : Des déséquilibres dans les neurotransmetteurs, tels que la sérotonine, pourraient contribuer à des comportements compulsifs, y compris l'accumulation d'animaux. En somme, le syndrome de Noé n'est pas le résultat d'une seule cause, mais plutôt d'une combinaison de facteurs psychologiques, sociaux et neurologiques. La compréhension de cette complexité est essentielle pour offrir un soutien et une intervention appropriés à ceux qui en souffrent.

Comment reconnaître les signes et symptômes du syndrome de Noé ?

L'identification précoce du syndrome de Noé peut jouer un rôle crucial dans la prévention des dommages potentiels à la fois pour l'individu et pour les animaux concernés. Voici quelques indicateurs clés à surveiller : Surpopulation : Nombre d'animaux : Une quantité anormalement élevée d'animaux dans un espace réduit, bien au-delà de ce qui serait considéré comme gérable ou approprié. Espaces confinés : Les animaux sont souvent entassés dans des cages ou des espaces réduits sans accès adéquat à la nourriture ou à l'eau. Conditions de vie : Insalubrité : Des excréments non nettoyés, une odeur forte, une mauvaise aération, des déchets accumulés. Détérioration du logement : Des dommages visibles à la structure du logement, comme des planchers pourris ou des murs endommagés. Négligence : Santé des animaux : Signes de malnutrition, de maladies non traitées, de blessures, de parasites, etc. Comportement des animaux : Signes de stress, d'agressivité ou de peur inhabituelle. Déni : Perception altérée : L'individu peut minimiser ou ne pas reconnaître la gravité de la situation, insistant sur le fait qu'il a la situation bien en main. Résistance à l'aide : La personne peut refuser l'intervention extérieure, devenant parfois hostile ou défensive.

Comment intervenir efficacement face au syndrome de Noé ?

Intervenir dans une situation liée au syndrome de Noé nécessite une approche nuancée et souvent multidimensionnelle, visant à protéger les animaux tout en soutenant l'individu concerné. Dialogue ouvert : Approche empathique : Il est essentiel d'aborder la personne sans jugement, en montrant de la compréhension pour ses intentions tout en exprimant des préoccupations pour le bien-être des animaux. Information : Fournir des données factuelles sur les conditions actuelles et leurs impacts sur les animaux. Aide professionnelle : Consultation psychologique : Encourager l'individu à voir un professionnel qui peut aider à traiter les causes sous-jacentes de son comportement. Groupes de soutien : Orienter la personne vers des groupes de soutien ou des programmes de réhabilitation spécialisés dans les troubles d'accumulation. Réseaux d'aide : Intervention d'organisations : Les refuges, les associations et les organisations de protection des animaux peuvent intervenir pour prendre en charge et réhabiliter les animaux. Sensibilisation : Encourager l'implication de la communauté pour créer un environnement de soutien et de prévention. Éducation : Prévention : Offrir des ressources éducatives sur la possession responsable d'animaux et sur les risques liés à l'accumulation. Suivi : Assurer un suivi régulier avec l'individu pour prévenir les récidives et s'assurer du bien-être des animaux. En fin de compte, il est crucial de comprendre que le syndrome de Noé est une manifestation complexe de problèmes sous-jacents. Une approche holistique et empathique est la clé pour résoudre ces situations délicates.
L’Éducation Canine en France et Ailleurs dans le Monde
L’Éducation Canine en France et Ailleurs dans le Monde
L’Éducation Canine en France et Ailleurs dans le Monde

L’Éducation Canine en France et Ailleurs : Un Aperçu Statistique et International

Les chiens ont été domestiqués par l'homme depuis des milliers d'années, et au fil du temps, nous avons continué à perfectionner les méthodes d'éducation et de dressage canin. Dans le monde entier, les chiffres montrent que de plus en plus de propriétaires de chiens se tournent vers une éducation formelle pour leurs compagnons à quatre pattes. Cet article vous offre un aperçu de la situation de l'éducation canine en France et ailleurs dans le monde.

L'Éducation Canine en France : Un Chiffre en Hausse

En France, on estime qu'il y a environ 7,3 millions de chiens, ce qui fait du pays l'un des plus grands marchés pour les animaux de compagnie en Europe. Cependant, le pourcentage de ces chiens qui reçoivent une éducation formelle est plus difficile à quantifier précisément.

Une étude réalisée par l'IFOP en 2019 a révélé que 69% des propriétaires de chiens en France disent avoir éduqué leur chien, que ce soit par eux-mêmes ou avec l'aide d'un professionnel. Par ailleurs, environ 28% des propriétaires de chiens en France ont déjà fait appel à un éducateur canin professionnel.

Ces chiffres semblent indiquer une prise de conscience grandissante de l'importance de l'éducation canine en France, mais ils montrent également qu'il reste encore beaucoup de travail à faire pour sensibiliser davantage les propriétaires à l'importance de l'éducation formelle des chiens.

L'Éducation Canine dans le Monde : Quelques Comparaisons

Si nous regardons maintenant au-delà des frontières françaises, la situation de l'éducation canine varie d'un pays à l'autre. Aux États-Unis, par exemple, le nombre de propriétaires de chiens qui investissent dans l'éducation formelle est en constante augmentation. Selon une étude réalisée par l'American Pet Products Association (APPA), environ 8% des propriétaires de chiens aux États-Unis ont emmené leur chien à des cours de dressage en 2020, contre 2% en 2008.

Au Royaume-Uni, une enquête de la Kennel Club a révélé que 71% des propriétaires de chiens ont éduqué leur chien, bien que seulement 23% aient utilisé un éducateur ou dresseur professionnel.

Dans des pays comme l'Australie et la Nouvelle-Zélande, l'éducation canine est également populaire, avec des taux de participation à des cours d'éducation formelle qui varient entre 15% et 30%.

Quels Facteurs Influencent ces Chiffres ?

Plusieurs facteurs peuvent influencer le pourcentage de chiens éduqués dans un pays donné. Il s'agit notamment des lois et réglementations locales, de la disponibilité des services d'éducation canine, de la prise de conscience du public sur l'importance de l'éducation canine, et de facteurs socio-économiques tels que le revenu disponible.

Il est également intéressant de noter que les tendances en matière d'éducation canine évoluent avec le temps. Dans de nombreux pays, il y a une tendance croissante à se tourner vers des méthodes d'éducation positives, qui mettent l'accent sur le renforcement positif plutôt que sur la punition. Cela pourrait également avoir un impact sur le nombre de propriétaires de chiens qui choisissent de recourir à une éducation formelle pour leurs animaux de compagnie.

Conclusion : L'Éducation Canine, une Tendance Mondiale en Hausse

Bien que les chiffres varient d'un pays à l'autre, il est clair que l'éducation canine est une tendance en hausse dans le monde entier. Que vous soyez en France ou ailleurs, l'éducation de votre chien peut améliorer la qualité de vie de votre animal, faciliter la cohabitation et renforcer votre lien avec lui.

Chez Canibest.com, nous soutenons pleinement cette tendance et nous sommes dédiés à fournir des services d'éducation canine de qualité. Que vous ayez un nouveau chiot qui a besoin d'apprendre les bases, ou un chien adulte qui a besoin d'un peu de raffinement, nous sommes là pour vous aider.

Rappelez-vous, un chien éduqué est un chien heureux, et un chien heureux fait un propriétaire heureux. Alors, n'attendez plus, investissez dans l'éducation de votre chien aujourd'hui !