Tarifs des cours d'éducation canine, à domicile ou en collectif

Découvrir Nos Services

Bien choisir son promeneur de chiens

Bien choisir son promeneur de chiens

Le métier de
promeneur canin ne consiste pas uniquement à balader les chiens dans un parc.
La sortie en meute contribue fortement à l’équilibre des chiens qui vont
pouvoir se dépenser, travailler leurs relations aux congénères et réviser les
enseignements appris chez leur éducateur canin.

Pour éviter
de mettre en danger les chiens ou d’autres personnes, c’est une profession qui
exige patience, discipline, et une attention permanente. Mais en l’absence
quasi-totale de règlementation, à qui pouvez-vous faire confiance pour promener
votre animal de compagnie, lorsque tout le monde peut s’improviser promeneur
canin ?

Selon Erin
Taylor, fondateur américain du « Pawsitive
Connection Dog Training & Services »
et formateur de promeneur de
chiens depuis plus de 10 ans,  Le « dogwalking » s’est développé
si rapidement au cours des dernières années que la plupart des propriétaires de
chiens ne réalisent pas qu’ils ont affaire à de petites structures ou de jeunes
indépendants  qui souvent n’ont aucune
qualification ou diplôme pour ce travail. Quasi n’importe qui peut se faire
appeler « promeneur de chien » en invoquant son amour des quadrupèdes.
Naturellement, un amour des chiens est impératif, mais certainement pas
suffisant.

Le chien ne
peut pas nous indiquer ce qu’il fait durant sa journée et comment s’est passé
la ballade. Vous n’allez pas non plus suivre le promeneur pour vérifier son
travail (quoi que…). Il est donc nécessaire de vérifier en amont à qui vous
aller confier votre tendre compagnon.

Les 10 questions à poser un promeneur de chien :

Êtes-vous formé en éducation et comportement
canin ? Savez-vous décrypter les signaux d’apaisement d’un chien ?

Selon Erin
Taylor, l’amour des chiens ne suffit pas, il faut connaitre parfaitement le
monde canin. Se faire obéir de son propre chien est relativement aisé ; se
faire obéir par une meute de chiens que l’on a en garde est une autre affaire…

Idéalement
la promenade au bois doit se faire sans laisse, en totale liberté. Votre
promeneur doit donc avoir de bonnes bases en éducation canine.

Les chiens
de la meute ne se connaissant pas toujours. Le « dogwalker » doit
donc savoir détecter les signaux que les chiens émettent entre eux afin de
prévenir les conflits et de les apaiser avant tout incident.

Combien de chiens seront présents dans votre
« meute » et serez-vous accompagné d’un autre promeneur avec son
propre groupe ?

La taille
idéale pour un groupe de chiens se situe autour de 8 individus, variable en
fonction de la taille et du caractère des chiens. On trouve néanmoins des
promeneurs accompagnés de 12 ou 15 chiens…

Chaque chien
supplémentaire dans une meute augmente les probabilités de conflits, de
blessures, de perte de chien. Et plus il y a de chiens et moins le promeneur
peut apporter une assistance individuelle sur le travail d’obéissance et de
socialisation.

Associer 2
promeneurs avec chacun un groupe de chiens peut être intéressant mais augmente
fortement les chances de bagarre, les meutes ne se connaissant pas et risquant
d’entrer en conflit.

Les
promeneurs doivent rester en permanence concentrés sur l’attitude des chiens et
sur leur environnement. Erin Taylor demande d’ailleurs à tous les promeneurs
d’éteindre leurs téléphones portables pendant les ballades.

Qui va promener mon chien ?

La plupart
des sociétés de dogwalking sont très petites et ne comptent qu’un seul employé.
Si vous optez pour une plus grande société, il est important de savoir qui va
promener votre chien et quelles sont ses qualifications. Insistez pour que ce
soit toujours la même personne qui promène votre chien afin qu’il connaisse et
anticipe ses réactions. Idéalement la meute doit toujours être plus ou moins la
même, ainsi votre chien retrouvera ses copains à chaque promenade et vous
limiterez fortement les risques de conflit ou de fugue.

Le promeneur
doit être titulaire du CCAD option « chien » (certificat de capacité
animaux domestiques). Il est impératif pour travailler dans cette profession et
n’est pas bien compliqué à obtenir (2 jours de formation théorique).

Quelle sera la taille des autres chiens promenés avec
le vôtre ?

Selon Erin
Taylor, Les petits chiens devraient être groupés avec d’autres petits chiens,
et il en va de même pour les grands. Il est trop facile pour de petits chiens
d’être blessés pendant le jeu avec et parmi leurs plus grands pairs. Il est
plus sûr de coller à la règle de 50%. Par exemple, si votre chien pèse 20 kg,
ses camarades ne devraient pas peser plus de 30 kg.

Combien de temps va réellement durer la
promenade ?

Certains
promeneurs canins ont un secteur géographique trop vaste. Ils passent tellement
de temps à récupérer et à redéposer tous les chiens qu’au final ils ne passent
qu’une heure dans le parc. Vérifiez donc que la promenade dure assez de temps
pour que votre chien s’amuse et qu’il ne passe pas sa journée en voiture…

Quelles méthodes et quel matériel utilisez-vous ?

Vérifiez que
les promeneurs utilisent uniquement les méthodes de renforcement positif.
Renvoyez chez eux les utilisateurs de colliers étrangleurs, de colliers
électriques, les adeptes des cris, de la soumission forcée et de la coercition.

Préférez
ceux qui seront chargés de jouets, de peluches, de lance balles et qui sauront
animer le groupe par des activités ludiques.

Est-ce que vous êtes assuré ?

Votre
promeneur de chiens doit être déclaré et assuré contre les risques
professionnels. Si jamais votre chien est victime ou cause un accident, votre
propre assurance pourrait se désengager, considérant (à juste titre) que le
chien n’était plus sous votre responsabilité civile.

Avez-vous un contrat à faire signer ?

Vous devez
signer un contrat avec le promeneur qui définit les responsabilités de chacun
et évite l’apparition de conflits en cas d’incident. Ce contrat doit être en
double exemplaire et l’original doit vous être remis.

Êtes-vous certifié pour fournir les premiers secours
canins ?

Même avec
les meilleures précautions, personne n’est à l’abri d’une blessure. Les
promenades se font en forêt donc dans des endroits où les secours sont
difficilement accessibles.

Erin Taylor souligne que donc que tout
promeneur devrait donc être formé aux premiers secours canins. Il doit pouvoir détecter les
urgences vitales, alerter efficacement les secours et maintenir le chien en vie
avant l’intervention d’un vétérinaire. Une trousse de premier secours doit
équiper chacun de ces professionnels avec bandages, attelles, pince à épiler,
pince à tiques et quelques basiques tout autant indispensables.

Dans quel véhicule transportez-vous les chiens ?

Le promeneur doit être titulaire du TAV (autorisation de transport d’animaux vivants). C’est obligatoire ! Pourtant peu d’entre eux passent cette formation et risquent ainsi la santé des animaux.

Votre chien
doit être transporté dans un véhicule avec le flux d’air maximum (climatisation,
aérateur sur le toit, grilles dans les portes à l’arrière…). Ce véhicule doit
être en bon état afin de réduire des possibilités de panne. Idéalement, les
chiens sont séparés dans le véhicule pour assurer un confort maximum et pour
réduire des possibilités de conflit pendant le transport.

Un promeneur
ne doit jamais laisser des chiens sans surveillance dans un véhicule, pour une
raison quelconque.

En
conclusion, n’hésitez pas à faire appel aux services d’un promeneur canin.
C’est un vrai plus pour votre chien qui pourra, en liberté, jouer avec des
compagnons fidèles, développer sa socialisation et réviser ses cours d’éducation canine. Par contre choisissez un promeneur professionnel,
diplômé, assuré, formé au secourisme canin et digne des responsabilités que
vous faites peser sur lui.

Le prix
moyen des promeneurs de chiens varie en fonction de leur localisation
géographique, du nombre de chiens dans le groupe et du respect ou non
des obligations fiscales… Le prix moyen oscille entre 20 et 30€ par chien pour
une promenade allant de 3 à 4 heures (transport compris).

le blog de Canibest

Matthew Perry : Le rôle salvateur de son chien durant les épreuves
Matthew Perry : Le rôle salvateur de son chien durant les épreuves
Avec le récent décès de Matthew Perry le 28 octobre 2023, le monde a perdu non seulement un acteur talentueux mais aussi un amoureux des chiens. Connu principalement pour son rôle de Chandler Bing dans la série "Friends", sa passion pour les chiens offrait un aperçu touchant de sa vie hors écran. Matthew Perry n'était pas seulement l'acteur drôle et sarcastique que le monde adorait. Derrière ses blagues se cachait un homme ayant traversé de nombreuses épreuves personnelles, notamment des problèmes d'addiction et des épisodes dépressifs. Durant ces moments sombres, un être fidèle l'a toujours accompagné : son chien.

Un refuge constant dans la tempête

Les animaux ont cette capacité unique d'offrir un réconfort silencieux. Pour Matthew, son chien représentait bien plus qu'un simple compagnon : il était un refuge, une présence constante qui lui rappelait l'amour inconditionnel même pendant ses jours les plus sombres. Dans un monde où la pression et le jugement peuvent être écrasants, son chien lui offrait un répit, une bulle de simplicité et de sincérité.

Lutter contre l'addiction avec un compagnon à ses côtés

Matthew Perry n'a jamais caché ses problèmes d'addiction, et son combat public contre ses démons personnels a été une source d'inspiration pour de nombreuses personnes traversant des épreuves similaires. Au cours de ces périodes, la présence de son chien à ses côtés a été cruciale. Alors que les médicaments et la thérapie jouaient leur rôle dans son rétablissement, la loyauté et la constance de son chien étaient une thérapie en soi.

Des moments de dépression apaisés par une présence canine

La dépression est un combat silencieux, souvent invisible aux yeux du monde extérieur. Matthew, malgré son statut de célébrité, n'était pas à l'abri de ces moments de désespoir. Son chien, avec ses yeux compréhensifs et son affection sans jugement, était là pour lui rappeler qu'il était aimé sans condition, un pilier sur lequel s'appuyer dans les moments de vulnérabilité. La vie de Matthew Perry, bien que pleine de succès et de reconnaissance, n'était pas sans ses défis. Et à travers chaque épreuve, chaque moment de doute, il avait à ses côtés un compagnon silencieux mais puissant : son chien. Cette relation illustre profondément le pouvoir guérisseur des animaux et rappelle à quel point ils peuvent être essentiels dans nos vies, surtout lorsqu'on traverse des moments difficiles.
Le syndrome de Noé : Une exploration approfondie
Le syndrome de Noé : Une exploration approfondie
  Le syndrome de Noé, bien que moins connu du grand public, est un trouble qui touche de nombreuses personnes à travers le monde. L’accumulation compulsive d'animaux peut avoir des conséquences dévastatrices tant pour les individus concernés que pour les animaux sous leur garde. Penchons-nous de plus près sur ce phénomène.

Qu'est-ce que le syndrome de Noé ?

À la base, le syndrome de Noé est un comportement d’accumulation compulsive d'animaux. Les personnes atteintes ont tendance à recueillir chez elles un nombre d'animaux bien supérieur à ce qu'elles peuvent réellement gérer. Bien que leurs intentions soient souvent bonnes, pensant sauver ces animaux, la réalité est bien différente, aboutissant à une négligence involontaire et des conditions de vie insalubres. L'appellation provient du récit biblique de Noé qui a sauvé un couple de chaque espèce animale de l'extinction lors du déluge. Les personnes souffrant de ce syndrome croient souvent qu'elles "sauvent" de manière similaire les animaux qu'elles recueillent, même si leurs actions peuvent involontairement causer plus de tort que de bien.

Quelles sont les causes profondes du syndrome de Noé ?

Comprendre le syndrome de Noé nécessite une exploration des multiples facteurs pouvant conduire un individu à un tel comportement. Bien que chaque cas puisse être unique, certaines causes communes et interdépendantes ont été identifiées : Facteurs psychologiques : Traumatismes passés : Des expériences traumatiques, comme la perte d'un être cher, peuvent pousser une personne à combler ce vide en recueillant des animaux. Les animaux peuvent offrir un sentiment de compagnie et d'objectif qui manque autrement. Troubles obsessionnels-compulsifs (TOC) : Le besoin de sauver ou de recueillir des animaux peut être un comportement compulsif déclenché par des pensées obsessionnelles concernant la sécurité ou le bien-être des animaux. Faible estime de soi : Accumuler des animaux peut donner à la personne un sentiment d'importance ou de but, renforçant ainsi une estime de soi autrement basse. Facteurs sociaux : Isolement : Les personnes socialement isolées peuvent être plus enclines à se tourner vers les animaux pour obtenir de la compagnie ou un sens à leur vie. Antécédents d'abus ou de négligence : Les individus ayant subi des abus ou de la négligence dans leur passé peuvent, inconsciemment, reproduire ces schémas sur les animaux, même si leur intention initiale est de sauver ou de protéger ces créatures. Normes culturelles ou communautaires : Dans certains contextes, l'accumulation d'animaux peut être considérée comme une norme ou même une vertu, renforçant ainsi ce comportement chez certains individus. Facteurs neurologiques : Anomalies cérébrales : Des recherches suggèrent que des anomalies dans certaines régions du cerveau, en particulier celles associées à la prise de décision, au contrôle des impulsions et à la régulation des émotions, pourraient être liées à des comportements d'accumulation. Déséquilibres chimiques : Des déséquilibres dans les neurotransmetteurs, tels que la sérotonine, pourraient contribuer à des comportements compulsifs, y compris l'accumulation d'animaux. En somme, le syndrome de Noé n'est pas le résultat d'une seule cause, mais plutôt d'une combinaison de facteurs psychologiques, sociaux et neurologiques. La compréhension de cette complexité est essentielle pour offrir un soutien et une intervention appropriés à ceux qui en souffrent.

Comment reconnaître les signes et symptômes du syndrome de Noé ?

L'identification précoce du syndrome de Noé peut jouer un rôle crucial dans la prévention des dommages potentiels à la fois pour l'individu et pour les animaux concernés. Voici quelques indicateurs clés à surveiller : Surpopulation : Nombre d'animaux : Une quantité anormalement élevée d'animaux dans un espace réduit, bien au-delà de ce qui serait considéré comme gérable ou approprié. Espaces confinés : Les animaux sont souvent entassés dans des cages ou des espaces réduits sans accès adéquat à la nourriture ou à l'eau. Conditions de vie : Insalubrité : Des excréments non nettoyés, une odeur forte, une mauvaise aération, des déchets accumulés. Détérioration du logement : Des dommages visibles à la structure du logement, comme des planchers pourris ou des murs endommagés. Négligence : Santé des animaux : Signes de malnutrition, de maladies non traitées, de blessures, de parasites, etc. Comportement des animaux : Signes de stress, d'agressivité ou de peur inhabituelle. Déni : Perception altérée : L'individu peut minimiser ou ne pas reconnaître la gravité de la situation, insistant sur le fait qu'il a la situation bien en main. Résistance à l'aide : La personne peut refuser l'intervention extérieure, devenant parfois hostile ou défensive.

Comment intervenir efficacement face au syndrome de Noé ?

Intervenir dans une situation liée au syndrome de Noé nécessite une approche nuancée et souvent multidimensionnelle, visant à protéger les animaux tout en soutenant l'individu concerné. Dialogue ouvert : Approche empathique : Il est essentiel d'aborder la personne sans jugement, en montrant de la compréhension pour ses intentions tout en exprimant des préoccupations pour le bien-être des animaux. Information : Fournir des données factuelles sur les conditions actuelles et leurs impacts sur les animaux. Aide professionnelle : Consultation psychologique : Encourager l'individu à voir un professionnel qui peut aider à traiter les causes sous-jacentes de son comportement. Groupes de soutien : Orienter la personne vers des groupes de soutien ou des programmes de réhabilitation spécialisés dans les troubles d'accumulation. Réseaux d'aide : Intervention d'organisations : Les refuges, les associations et les organisations de protection des animaux peuvent intervenir pour prendre en charge et réhabiliter les animaux. Sensibilisation : Encourager l'implication de la communauté pour créer un environnement de soutien et de prévention. Éducation : Prévention : Offrir des ressources éducatives sur la possession responsable d'animaux et sur les risques liés à l'accumulation. Suivi : Assurer un suivi régulier avec l'individu pour prévenir les récidives et s'assurer du bien-être des animaux. En fin de compte, il est crucial de comprendre que le syndrome de Noé est une manifestation complexe de problèmes sous-jacents. Une approche holistique et empathique est la clé pour résoudre ces situations délicates.
L’Éducation Canine en France et Ailleurs dans le Monde
L’Éducation Canine en France et Ailleurs dans le Monde
L’Éducation Canine en France et Ailleurs dans le Monde

L’Éducation Canine en France et Ailleurs : Un Aperçu Statistique et International

Les chiens ont été domestiqués par l'homme depuis des milliers d'années, et au fil du temps, nous avons continué à perfectionner les méthodes d'éducation et de dressage canin. Dans le monde entier, les chiffres montrent que de plus en plus de propriétaires de chiens se tournent vers une éducation formelle pour leurs compagnons à quatre pattes. Cet article vous offre un aperçu de la situation de l'éducation canine en France et ailleurs dans le monde.

L'Éducation Canine en France : Un Chiffre en Hausse

En France, on estime qu'il y a environ 7,3 millions de chiens, ce qui fait du pays l'un des plus grands marchés pour les animaux de compagnie en Europe. Cependant, le pourcentage de ces chiens qui reçoivent une éducation formelle est plus difficile à quantifier précisément.

Une étude réalisée par l'IFOP en 2019 a révélé que 69% des propriétaires de chiens en France disent avoir éduqué leur chien, que ce soit par eux-mêmes ou avec l'aide d'un professionnel. Par ailleurs, environ 28% des propriétaires de chiens en France ont déjà fait appel à un éducateur canin professionnel.

Ces chiffres semblent indiquer une prise de conscience grandissante de l'importance de l'éducation canine en France, mais ils montrent également qu'il reste encore beaucoup de travail à faire pour sensibiliser davantage les propriétaires à l'importance de l'éducation formelle des chiens.

L'Éducation Canine dans le Monde : Quelques Comparaisons

Si nous regardons maintenant au-delà des frontières françaises, la situation de l'éducation canine varie d'un pays à l'autre. Aux États-Unis, par exemple, le nombre de propriétaires de chiens qui investissent dans l'éducation formelle est en constante augmentation. Selon une étude réalisée par l'American Pet Products Association (APPA), environ 8% des propriétaires de chiens aux États-Unis ont emmené leur chien à des cours de dressage en 2020, contre 2% en 2008.

Au Royaume-Uni, une enquête de la Kennel Club a révélé que 71% des propriétaires de chiens ont éduqué leur chien, bien que seulement 23% aient utilisé un éducateur ou dresseur professionnel.

Dans des pays comme l'Australie et la Nouvelle-Zélande, l'éducation canine est également populaire, avec des taux de participation à des cours d'éducation formelle qui varient entre 15% et 30%.

Quels Facteurs Influencent ces Chiffres ?

Plusieurs facteurs peuvent influencer le pourcentage de chiens éduqués dans un pays donné. Il s'agit notamment des lois et réglementations locales, de la disponibilité des services d'éducation canine, de la prise de conscience du public sur l'importance de l'éducation canine, et de facteurs socio-économiques tels que le revenu disponible.

Il est également intéressant de noter que les tendances en matière d'éducation canine évoluent avec le temps. Dans de nombreux pays, il y a une tendance croissante à se tourner vers des méthodes d'éducation positives, qui mettent l'accent sur le renforcement positif plutôt que sur la punition. Cela pourrait également avoir un impact sur le nombre de propriétaires de chiens qui choisissent de recourir à une éducation formelle pour leurs animaux de compagnie.

Conclusion : L'Éducation Canine, une Tendance Mondiale en Hausse

Bien que les chiffres varient d'un pays à l'autre, il est clair que l'éducation canine est une tendance en hausse dans le monde entier. Que vous soyez en France ou ailleurs, l'éducation de votre chien peut améliorer la qualité de vie de votre animal, faciliter la cohabitation et renforcer votre lien avec lui.

Chez Canibest.com, nous soutenons pleinement cette tendance et nous sommes dédiés à fournir des services d'éducation canine de qualité. Que vous ayez un nouveau chiot qui a besoin d'apprendre les bases, ou un chien adulte qui a besoin d'un peu de raffinement, nous sommes là pour vous aider.

Rappelez-vous, un chien éduqué est un chien heureux, et un chien heureux fait un propriétaire heureux. Alors, n'attendez plus, investissez dans l'éducation de votre chien aujourd'hui !