Tarifs des cours d'éducation canine, à domicile ou en collectif

Découvrir Nos Services

Comment se déconfiner sans perturber son chien ?

Comment se déconfiner sans perturber son chien ?

Le déconfinement progressif a commencé le lundi 11 mai 2020. Cela fait donc plus 55 jours que des restrictions de déplacements et un maintien à domicile, afin de limiter la propagation du COVID-19, a été mis en place. Ce confinement a des répercussions sur notre mode de vie mais également sur celui de nos chiens. Maintenant que le déconfinement progressif a lieu certains chiens ou chiots ont été habitués à un contact constant avec leur maître, plus d’attentions etc … et le retour à « la vie normale » peut les perturber.


Comment réhabituer son chien à rester seul ?

Pendant ce délai de confinement, votre chien s’est habitué à votre présence et votre retour au travail peut rapidement le faire souffrir de cette séparation. C’est pour cela qu’il est primordial de réhabituer progressivement votre chien à la solitude si vous n’avez pas encore repris le travail. Vous devez donc mettre en place une certaine distance et ne pas lui prêter d’attention pour l’habituer dès à présent à s’occuper seul. 

Afin de le réhabituer peu à peu votre chien à la solitude totale vous pouvez commencer à vous absenter pendant un certain temps de façon progressive en commençant par 30 minutes puis en augmentant la durée jusqu’à arriver à celle de vos absences quotidiennes. Faites attention à ne pas ritualiser votre départ et gardez une attitude neutre, vous devez le réhabituer de façon positive et bienveillante. N’oubliez pas de mettre en place des jeux d’occupations si vous vous rendez compte qu’il commence à s’ennuyer pendant votre absence.

Si vous avez déjà recommencé à aller au travail vous pouvez soit mettre en place ces exercices le week-end en mettant en place des jeux d’occupations et vous absentant progressivement, soit trouver un petsitter afin de réhabituer votre chien petit à petit à l’absence de personne dans votre domicile.

Comment réadapter le nombre de promenade de son chien ?

Avec les mesures de confinement les propriétaires de chiens profitaient de promener leurs chiens afin de prendre l’air et de se dépenser. Le nombre de promenade quotidienne de propriétaires de chien s’est par ailleurs intensifié. C’est ce que démontre l’étude menée par Invoxia qui révèle que les promenades de chiens avaient augmenté de 40% en avril 2020. 

Cependant avec la reprise du travail, beaucoup de maître ne pourront plus assurer le même nombre de sorties. Cela pourrait donc frustrer les chiens qui étaient habitués à se dépenser souvent. Pour cela, si vous n’avez pas encore repris le travail, veillez à réduire progressivement le nombre de sorties afin d’arriver au nombre de sorties quotidiennes pré-confinement. 

Si vous sentez que votre chien réclame ces sorties et que leurs absences ont un impact sur son bien-être, essayez de remplacer certaines promenades par des moments de jeux.

Tout comme pour habituer votre chien à rester seul, si vous avez déjà repris le travail, vous pouvez vous faire appel à un promeneur de chien ou un petsitter afin de réhabituer votre chien à un nombre de ballades que vous pouvez réaliser quotidiennement.

Vous pouvez aussi profiter de la réouverture des forêts et d’autres espaces verts afin de promener plus longtemps votre chien le week-end et ainsi lui permettre de se dépenser suffisamment.

Comment mettre en place les gestes barrières lors du déconfinement ?

Même s’il vous est maintenant possible de promener plus longtemps votre chien, et dans des lieux plus éloignés de votre domicile il est fondamental de limiter le contact avec d’autres personnes. 

Pour cela privilégiez les ballades en laisse, gardez un mètre de distance avec les autres passants mais aussi avec les autres chiens et ne laissez pas d’autres personnes caresser votre chien. 

Quels sont les troubles du comportement qui ont pu se développer pendant le confinement et comment les faire disparaître ?


 Réactivité avec les Hommes ou les congénères

Que votre chien soit adulte ou que ce soit un chiot, le confinement peut avoir des répercussions sur son comportement notamment avec les Hommes et les congénères. Si vous venez d’adopter un chiot le confinement peut avoir créé des dégâts par rapport à son comportement et sa socialisation. En effet la socialisation du chiot est une étape fondamentale à son bon développement. Un chien qui n’est pas socialisé peut avoir un comportement craintif, agressif, peureux, nerveux etc … avec le monde extérieur. 

Cette période a lieu entre sa 8ème et sa 16ème semaine et peut s’étendre légèrement au-delà.

Si cette période a eu lieu lors du confinement il n’est tout de même pas trop tard, sortez-le souvent et mettez-le en contact de façon rassurante avec des bruits différents, des odeurs différentes ainsi que des situations différentes. 

Essayez de contacter des personnes ayant des chiens équilibrés afin de les faire rencontrer à votre chiot et ainsi développer des rencontres positives. Il vaut mieux réaliser peu de rencontres positives avec d’autres chiens, que de nombreuses qui se déroulent mal. 

N’oubliez tout de même pas que même si le confinement a été levé il est important de respecter les gestes barrières avec les personnes que vous rencontrez.

– Anxiété de séparation 

L’anxiété de séparation est la persistance de l’attachement primaire envers une personne pour un chien. Un chien qui fait de l’anxiété de séparation est un chien qui a peur de se retrouver seul. Ce trouble de comportement se traduit par des destructions, de la malpropreté ainsi que des aboiements excessifs. 

Durant le confinement, que votre chien soit en âge adulte ou non il se peut qu’il se soit fortement habitué à votre présence et que la moindre absence peut générer beaucoup d’anxiété. Ce trouble du comportement est relativement fréquent et demande un travail régulier afin de le traiter. Pour cela il vous faudra tout d’abord sortir suffisamment votre chien pour qu’il soit totalement dépensé et qu’il se repose pendant vos absences. 

Vous pouvez aussi travailler la solitude en le laisser peu à peu seul dans une pièce. Laissez-lui suffisamment de jouets d’occupations afin qu’il ne pense pas à votre absence, vous pouvez lui mettre à disposition un tapis de fouille, des jouets qui distribuent de la nourriture, des bois de cerfs ou même des Kongs remplis d’aliments appétants qui nécessitent du temps pour être entièrement mangés. 

N’oubliez pas également de banaliser vos sorties et vos retours. Si malgré ces exercices, votre chien fait toujours de l’anxiété de séparation il est recommandé de faire appel à un comportementaliste canin afin de connaître la cause réelle de ce problème et de mettre en place des solutions personnalisées à votre situation.

Les troubles du comportement sont variés et peuvent disparaître mais cela nécessite de la patience et du travail. Il est également important de se faire accompagner par un éducateur et comportementaliste canin si vous voyez que ces problèmes persistent car ils peuvent aussi s’aggraver …

le blog de Canibest

Matthew Perry : Le rôle salvateur de son chien durant les épreuves
Matthew Perry : Le rôle salvateur de son chien durant les épreuves
Avec le récent décès de Matthew Perry le 28 octobre 2023, le monde a perdu non seulement un acteur talentueux mais aussi un amoureux des chiens. Connu principalement pour son rôle de Chandler Bing dans la série "Friends", sa passion pour les chiens offrait un aperçu touchant de sa vie hors écran. Matthew Perry n'était pas seulement l'acteur drôle et sarcastique que le monde adorait. Derrière ses blagues se cachait un homme ayant traversé de nombreuses épreuves personnelles, notamment des problèmes d'addiction et des épisodes dépressifs. Durant ces moments sombres, un être fidèle l'a toujours accompagné : son chien.

Un refuge constant dans la tempête

Les animaux ont cette capacité unique d'offrir un réconfort silencieux. Pour Matthew, son chien représentait bien plus qu'un simple compagnon : il était un refuge, une présence constante qui lui rappelait l'amour inconditionnel même pendant ses jours les plus sombres. Dans un monde où la pression et le jugement peuvent être écrasants, son chien lui offrait un répit, une bulle de simplicité et de sincérité.

Lutter contre l'addiction avec un compagnon à ses côtés

Matthew Perry n'a jamais caché ses problèmes d'addiction, et son combat public contre ses démons personnels a été une source d'inspiration pour de nombreuses personnes traversant des épreuves similaires. Au cours de ces périodes, la présence de son chien à ses côtés a été cruciale. Alors que les médicaments et la thérapie jouaient leur rôle dans son rétablissement, la loyauté et la constance de son chien étaient une thérapie en soi.

Des moments de dépression apaisés par une présence canine

La dépression est un combat silencieux, souvent invisible aux yeux du monde extérieur. Matthew, malgré son statut de célébrité, n'était pas à l'abri de ces moments de désespoir. Son chien, avec ses yeux compréhensifs et son affection sans jugement, était là pour lui rappeler qu'il était aimé sans condition, un pilier sur lequel s'appuyer dans les moments de vulnérabilité. La vie de Matthew Perry, bien que pleine de succès et de reconnaissance, n'était pas sans ses défis. Et à travers chaque épreuve, chaque moment de doute, il avait à ses côtés un compagnon silencieux mais puissant : son chien. Cette relation illustre profondément le pouvoir guérisseur des animaux et rappelle à quel point ils peuvent être essentiels dans nos vies, surtout lorsqu'on traverse des moments difficiles.
Le syndrome de Noé : Une exploration approfondie
Le syndrome de Noé : Une exploration approfondie
  Le syndrome de Noé, bien que moins connu du grand public, est un trouble qui touche de nombreuses personnes à travers le monde. L’accumulation compulsive d'animaux peut avoir des conséquences dévastatrices tant pour les individus concernés que pour les animaux sous leur garde. Penchons-nous de plus près sur ce phénomène.

Qu'est-ce que le syndrome de Noé ?

À la base, le syndrome de Noé est un comportement d’accumulation compulsive d'animaux. Les personnes atteintes ont tendance à recueillir chez elles un nombre d'animaux bien supérieur à ce qu'elles peuvent réellement gérer. Bien que leurs intentions soient souvent bonnes, pensant sauver ces animaux, la réalité est bien différente, aboutissant à une négligence involontaire et des conditions de vie insalubres. L'appellation provient du récit biblique de Noé qui a sauvé un couple de chaque espèce animale de l'extinction lors du déluge. Les personnes souffrant de ce syndrome croient souvent qu'elles "sauvent" de manière similaire les animaux qu'elles recueillent, même si leurs actions peuvent involontairement causer plus de tort que de bien.

Quelles sont les causes profondes du syndrome de Noé ?

Comprendre le syndrome de Noé nécessite une exploration des multiples facteurs pouvant conduire un individu à un tel comportement. Bien que chaque cas puisse être unique, certaines causes communes et interdépendantes ont été identifiées : Facteurs psychologiques : Traumatismes passés : Des expériences traumatiques, comme la perte d'un être cher, peuvent pousser une personne à combler ce vide en recueillant des animaux. Les animaux peuvent offrir un sentiment de compagnie et d'objectif qui manque autrement. Troubles obsessionnels-compulsifs (TOC) : Le besoin de sauver ou de recueillir des animaux peut être un comportement compulsif déclenché par des pensées obsessionnelles concernant la sécurité ou le bien-être des animaux. Faible estime de soi : Accumuler des animaux peut donner à la personne un sentiment d'importance ou de but, renforçant ainsi une estime de soi autrement basse. Facteurs sociaux : Isolement : Les personnes socialement isolées peuvent être plus enclines à se tourner vers les animaux pour obtenir de la compagnie ou un sens à leur vie. Antécédents d'abus ou de négligence : Les individus ayant subi des abus ou de la négligence dans leur passé peuvent, inconsciemment, reproduire ces schémas sur les animaux, même si leur intention initiale est de sauver ou de protéger ces créatures. Normes culturelles ou communautaires : Dans certains contextes, l'accumulation d'animaux peut être considérée comme une norme ou même une vertu, renforçant ainsi ce comportement chez certains individus. Facteurs neurologiques : Anomalies cérébrales : Des recherches suggèrent que des anomalies dans certaines régions du cerveau, en particulier celles associées à la prise de décision, au contrôle des impulsions et à la régulation des émotions, pourraient être liées à des comportements d'accumulation. Déséquilibres chimiques : Des déséquilibres dans les neurotransmetteurs, tels que la sérotonine, pourraient contribuer à des comportements compulsifs, y compris l'accumulation d'animaux. En somme, le syndrome de Noé n'est pas le résultat d'une seule cause, mais plutôt d'une combinaison de facteurs psychologiques, sociaux et neurologiques. La compréhension de cette complexité est essentielle pour offrir un soutien et une intervention appropriés à ceux qui en souffrent.

Comment reconnaître les signes et symptômes du syndrome de Noé ?

L'identification précoce du syndrome de Noé peut jouer un rôle crucial dans la prévention des dommages potentiels à la fois pour l'individu et pour les animaux concernés. Voici quelques indicateurs clés à surveiller : Surpopulation : Nombre d'animaux : Une quantité anormalement élevée d'animaux dans un espace réduit, bien au-delà de ce qui serait considéré comme gérable ou approprié. Espaces confinés : Les animaux sont souvent entassés dans des cages ou des espaces réduits sans accès adéquat à la nourriture ou à l'eau. Conditions de vie : Insalubrité : Des excréments non nettoyés, une odeur forte, une mauvaise aération, des déchets accumulés. Détérioration du logement : Des dommages visibles à la structure du logement, comme des planchers pourris ou des murs endommagés. Négligence : Santé des animaux : Signes de malnutrition, de maladies non traitées, de blessures, de parasites, etc. Comportement des animaux : Signes de stress, d'agressivité ou de peur inhabituelle. Déni : Perception altérée : L'individu peut minimiser ou ne pas reconnaître la gravité de la situation, insistant sur le fait qu'il a la situation bien en main. Résistance à l'aide : La personne peut refuser l'intervention extérieure, devenant parfois hostile ou défensive.

Comment intervenir efficacement face au syndrome de Noé ?

Intervenir dans une situation liée au syndrome de Noé nécessite une approche nuancée et souvent multidimensionnelle, visant à protéger les animaux tout en soutenant l'individu concerné. Dialogue ouvert : Approche empathique : Il est essentiel d'aborder la personne sans jugement, en montrant de la compréhension pour ses intentions tout en exprimant des préoccupations pour le bien-être des animaux. Information : Fournir des données factuelles sur les conditions actuelles et leurs impacts sur les animaux. Aide professionnelle : Consultation psychologique : Encourager l'individu à voir un professionnel qui peut aider à traiter les causes sous-jacentes de son comportement. Groupes de soutien : Orienter la personne vers des groupes de soutien ou des programmes de réhabilitation spécialisés dans les troubles d'accumulation. Réseaux d'aide : Intervention d'organisations : Les refuges, les associations et les organisations de protection des animaux peuvent intervenir pour prendre en charge et réhabiliter les animaux. Sensibilisation : Encourager l'implication de la communauté pour créer un environnement de soutien et de prévention. Éducation : Prévention : Offrir des ressources éducatives sur la possession responsable d'animaux et sur les risques liés à l'accumulation. Suivi : Assurer un suivi régulier avec l'individu pour prévenir les récidives et s'assurer du bien-être des animaux. En fin de compte, il est crucial de comprendre que le syndrome de Noé est une manifestation complexe de problèmes sous-jacents. Une approche holistique et empathique est la clé pour résoudre ces situations délicates.
L’Éducation Canine en France et Ailleurs dans le Monde
L’Éducation Canine en France et Ailleurs dans le Monde
L’Éducation Canine en France et Ailleurs dans le Monde

L’Éducation Canine en France et Ailleurs : Un Aperçu Statistique et International

Les chiens ont été domestiqués par l'homme depuis des milliers d'années, et au fil du temps, nous avons continué à perfectionner les méthodes d'éducation et de dressage canin. Dans le monde entier, les chiffres montrent que de plus en plus de propriétaires de chiens se tournent vers une éducation formelle pour leurs compagnons à quatre pattes. Cet article vous offre un aperçu de la situation de l'éducation canine en France et ailleurs dans le monde.

L'Éducation Canine en France : Un Chiffre en Hausse

En France, on estime qu'il y a environ 7,3 millions de chiens, ce qui fait du pays l'un des plus grands marchés pour les animaux de compagnie en Europe. Cependant, le pourcentage de ces chiens qui reçoivent une éducation formelle est plus difficile à quantifier précisément.

Une étude réalisée par l'IFOP en 2019 a révélé que 69% des propriétaires de chiens en France disent avoir éduqué leur chien, que ce soit par eux-mêmes ou avec l'aide d'un professionnel. Par ailleurs, environ 28% des propriétaires de chiens en France ont déjà fait appel à un éducateur canin professionnel.

Ces chiffres semblent indiquer une prise de conscience grandissante de l'importance de l'éducation canine en France, mais ils montrent également qu'il reste encore beaucoup de travail à faire pour sensibiliser davantage les propriétaires à l'importance de l'éducation formelle des chiens.

L'Éducation Canine dans le Monde : Quelques Comparaisons

Si nous regardons maintenant au-delà des frontières françaises, la situation de l'éducation canine varie d'un pays à l'autre. Aux États-Unis, par exemple, le nombre de propriétaires de chiens qui investissent dans l'éducation formelle est en constante augmentation. Selon une étude réalisée par l'American Pet Products Association (APPA), environ 8% des propriétaires de chiens aux États-Unis ont emmené leur chien à des cours de dressage en 2020, contre 2% en 2008.

Au Royaume-Uni, une enquête de la Kennel Club a révélé que 71% des propriétaires de chiens ont éduqué leur chien, bien que seulement 23% aient utilisé un éducateur ou dresseur professionnel.

Dans des pays comme l'Australie et la Nouvelle-Zélande, l'éducation canine est également populaire, avec des taux de participation à des cours d'éducation formelle qui varient entre 15% et 30%.

Quels Facteurs Influencent ces Chiffres ?

Plusieurs facteurs peuvent influencer le pourcentage de chiens éduqués dans un pays donné. Il s'agit notamment des lois et réglementations locales, de la disponibilité des services d'éducation canine, de la prise de conscience du public sur l'importance de l'éducation canine, et de facteurs socio-économiques tels que le revenu disponible.

Il est également intéressant de noter que les tendances en matière d'éducation canine évoluent avec le temps. Dans de nombreux pays, il y a une tendance croissante à se tourner vers des méthodes d'éducation positives, qui mettent l'accent sur le renforcement positif plutôt que sur la punition. Cela pourrait également avoir un impact sur le nombre de propriétaires de chiens qui choisissent de recourir à une éducation formelle pour leurs animaux de compagnie.

Conclusion : L'Éducation Canine, une Tendance Mondiale en Hausse

Bien que les chiffres varient d'un pays à l'autre, il est clair que l'éducation canine est une tendance en hausse dans le monde entier. Que vous soyez en France ou ailleurs, l'éducation de votre chien peut améliorer la qualité de vie de votre animal, faciliter la cohabitation et renforcer votre lien avec lui.

Chez Canibest.com, nous soutenons pleinement cette tendance et nous sommes dédiés à fournir des services d'éducation canine de qualité. Que vous ayez un nouveau chiot qui a besoin d'apprendre les bases, ou un chien adulte qui a besoin d'un peu de raffinement, nous sommes là pour vous aider.

Rappelez-vous, un chien éduqué est un chien heureux, et un chien heureux fait un propriétaire heureux. Alors, n'attendez plus, investissez dans l'éducation de votre chien aujourd'hui !