Nos dernières actualités sur les chiens

Comme chaque année, le magazine 30 millions d’amis publie son classement des villes les plus « dog friendly » (agréables pour les chiens).

Quatre thématiques sont prises en compte afin d’évaluer l’engagement des villes dans l’intégration des chiens :

– l’accessibilité (caniparcs, espaces verts, transports…)

– la propreté (sacs de ramassages, espaces pour faire crotter les chiens…)

– sensibilisation et engagement (éducation canine, prévention dans les écoles…)

– médiation (gestion des conflits de voisinages liés aux animaux, sensibilisation des SDF…)

Cette année c’est Montpellier qui décroche la palme et obtient la première place du classement !

Dans les villes où sont présents les éducateurs canins Canibest, Toulon arrive 3ème !!

« Nous avons encore une marge de progression » déclare l’élue en charge de la condition animale. « Nous réfléchissons à la mise en place d’un cimetière animalier sur la ville
de Toulon. Mais aussi renforcer les liens entre les animaux et les
personnes âgées. Par exemple, celles qui rentrent dans nos EPHAD et qui
sont obligées de laisser leurs animaux. Nous savons que le lien est
important. Comment le conserver ? Et ceux qui n’ont pas d’animaux, on
sait que la présence est importante. Donc nous y réfléchissons » poursuit Christine Pagany-Bézy.

Pour nos autres agences :

Lyon obtient la 10ème place

Bordeaux, 19ème place

Paris, 24ème place

Rennes, 26ème place

Strasbourg, 31ème place

Toute l’équipe Canibest se tient à la disposition des mairies qui souhaiteraient monter dans le classement en montrant leur dynamisme afin de faciliter la vie des chiens et de leurs propriétaires.

Le projet d’Isabelle Fromentin se
concrétise enfin ! KDOG, un programme de recherche d’innovation médicale
de l’institut Curie, travaillait sur une technique de dépistage du cancer du
sein simple, grâce à l’odorat canin.

Le projet
vient de se voir attribuer le prestigieux titre de programme hospitalier de
recherche clinique en cancérologie, par la Direction générale de l’offre de
soins (DOGS) et l’institut national du cancer(INCa).

KDOG a donc
obtenu une subvention de 400 000€ sur trois ans, pour poursuivre ses
recherches auprès de 400 femmes. Une excellente nouvelle qui vient récompenser
le travail de toute une équipe, malgré les doutes de certains concernant la
cohérence du projet.

Concrètement,
le concept KDOG a pour objectif de mettre l’odorat des chiens au service des patientes atteintes de
tumeurs. Grâce à l’éducation
reçue ils sont capables de détecter un échantillon porteur de marqueurs
tumoraux parmi plusieurs prélèvements de sueur. Après avoir testé cette thèse,
l’équipe souhaite donc mettre en pratique cette aptitude exceptionnelle en
situation de vie réelle.

Le seul
inconvénient qui apparaît, et qui pourrait remettre en cause la fiabilité du
programme, est l’humeur taquine et le professionnalisme de ces chiens-médecins.
En effet, ceux-là ne voient pas cette mission comme une contrainte mais plutôt comme
un jeu. L’équipe d’Isabelle trouve la motivation de leurs petits collaborateurs
en utilisant la récompense dès
lors que la mission est un succès. Autrement dit, afin de montrer que les
chiens réussissaient à identifier 100% des tumeurs positives, les médecins
avaient placé une récompense pour chaque patient atteint et découvert.

Effectivement
c’est grâce aux méthodes des
éducateurs canins comportementalistes que l’institut a pu obtenir de
tels résultats. Il est d’ailleurs très simple d’éduquer et de conditionner un chien ou un chiot en
utilisant des pratiques douces comme nous le montre cette expérience.

Cependant, il
ne faudrait pas oublier que ce n’est pas au vieux singe qu’on apprend à faire
la grimace. Bien entendu, lorsque nos experts de l’odorat comprendront qu’il
faut sentir 10 patientes avant de trouver la récompense, leur envie de jouer ne sera plus
la même et leur obéissance faiblira…

L’important
pour l’institut est donc de travailler sur la régularité des performances des chiens. Ils se
pencheront alors sur une étude regroupant 400 femmes présentant déjà un risque,
en raison d’une première mammographie douteuse. L’objectif pour le radiologue
et le chien sera donc
de tenter d’identifier 100% des échantillons dont certains cas ne présenteront
qu’un kyste.

Si
l’expérience s’avère être un succès, la méthode pourrait être utilisée en
France pour un pré-test de dépistage. Cela permettrait d’éviter des
mammographies systématiques et nettement plus couteuses…

En attendant,
l’équipe KDOG travaille toujours avec un ethnologue pour affiner le caractère
de ses trois chiens et améliorer les tests de sélection de ses futures recrues.

Un exemple de plus qui va dans le
sens des pratiques que nous mettons en place chez Canibest L’Ecole des chiens, une éducation fondée sur le renforcement
positif et la récompense.

Barkouf, c’est l’histoire d’un pouvoir autoritaire malmené
par différents mouvements insurrectionnels. Le peuple est en colère, il réclame
plus de liberté et moins de taxes, jusqu’au jour où le roi eu l’idée d’un plan
machiavélique.

Le roi pense qu’il a eu une idée de génie en installant un chien, Barkouf sur le trone afin de mettre fin aux rebellions et de punir ses
sujets en leur donnant le souverain qu’ils méritent. Mais voilà, ce fût une fausse
bonne idée car Maima, la maitresse de Barkouf traduit ses aboiements en
réformes sociales. Il est clair que l’ambiance générale de cette comédie n’est
pas sans nous rappeler l’actualité Française. Les auteurs ont même pensé un
temps à y intégrer les gilets jaunes.

Sans allés jusque-là, l’intrigue se déroule dans ce qui
ressemble à une dictature communiste d’Europe de l’est alors qu’initialement
elle se déroulait à Lahore au Pakistan. Cette pièce représente de façon très
réaliste ce que pouvait être le totalitarisme communiste caractérisé par la
surveillance permanente et la délation.

Bien que sa niche soit présente au milieu de la scène avec
comme devise : «  Liberté, égalité, croquettes », Barkouf qui est en fait un caniche, ne fera qu’une
seule apparition durant la pièce.

C’est donc l’opéra du Rhin à Strasbourg qui accueil cet
ouvrage jusqu’au 24 Décembre prochain. Cette comédie est inédite depuis sa série
de diffusion originale en 1861 à l’opéra-comique de Paris.  Le renouveau de cette comédie n’a été
possible que grâce à la découverte récente de manuscrits chez les descendants d’Offenbach,
complétées par des partitions situées à la bibliothèque nationale Américaine.

Si vous êtes passionnés
des chiens et que vous n’êtes pas trop loin de Strasbourg (67), n’hésitez pas à
faire comme Lionel, notre éducateur canin en Alsace, et de vous rendre à l’opéra
du Rhin afin de vous délecter d’une œuvre riche en enseignements.

Le programme PEACE lancé en Janvier par la gouvernement de Wallonie
a permis à 1500 enfants agés de 4 à 6 ans d’être sensibilisés aux risques de morsures notamment. En interrogeant ces enfants, on se rend compte plus particulièrement
de la nécessité d’une telle formation puisque près de 12% d’entre eux avoue s’être
déjà fait mordre par un chien. De plus 80% des incidents se déroulent avec des chiens que les enfants rencontrent fréquemment.

Le programme de cette formation est évidemment adapté à son jeune publique et propose des exercices
ludiques. L’objectif n’étant pas d’effrayer les enfants mais plutôt de les aider
à comprendre le comportement et les réactions que peut avoir un chien. On
espère que cela permettra aux enfants d’avoir une conduite adéquate à l’approche
d’un chien.

C’est d’ailleurs ce qu’explique à RTBF le ministre du
bien-être animal Wallon, Carlo di Antonio :  « A cet âge, les enfants ont souvent des comportements innocents et naïfs à l’approche d’un chien. Ils en sont les principales victimes et ont
deux fois plus de risques d’être hospitalisés ».

On remarque un certain progrès des enfants après cette formation puisque 12% disent avoir peur des chiens après la formation contre 16% avant.
De même pour le nombre d’enfants qui auraient câliné un chien dans une atmosphère
défavorables qui passe de 86% à 60%.

Cette expérience est donc la preuve qu’en matière de comportement et particulièrement des enfants avec les chiens, rien ne vaut la
prévention. C’est pourquoi Canibest by l’école chiens propose des stages de prévention aux morsures à destination des petits mais aussi des grands.

L’histoire débute il y a deux ans, la famille Demir est alors tranquillement en
train de regarder la télévision. Ce soir-là c’est un film émouvant mettant en scène un chien qu’il y a à
l’antenne : Hatchi. Tellement émouvant que cela a donné envie au père de famille,
Omer d’adopter un chien et cela bien qu’il en a toujours eu une peur bleue.

C’est le lendemain en parcourant les annonces sur Le Bon coin, qu’une leur saute aux
yeux : «  Vend Husky nommé Hatchi ». Il n’en fallu pas plus pour
que la famille ramène ce jeune Husky à la maison. Ce fût un changement radical
pour Omer qui n’avait jamais eu de chien jusqu’à présent. D’ailleurs, il explique
lui-même à France 3 Alsace qu’au début ce ne fût pas simple pour créer une
relation avec son chien : « Pendant deux mois ça a été
l’horreur, il était complètement amorphe. C’est simple : il restait dans son
coin. »

C’est seulement lorsque Omer a ramené un ballon qu’ Hatchi s’est mis à
jouer avec, au plus grand plaisir de son maitre. Omer atteste que c’est à
partir de ce moment qu’ils sont devenu : «  les meilleurs amis
du monde ». Il poursuit : « Il a pété un câble avec le ballon. Moi ça
m’arrange, je n’ai pas de fils. Mes deux filles n’aiment pas ça et ma femme est
carrément anti-foot. Hatchi c’est comme un fils, voilà. Au moins j’ai
quelqu’un avec qui regarder les matchs »

Il assure même à France 3 région Alsace que son compagnon regarde la
télé et qu’il pousse même des cris de loup lorsque Strasbourg marque un but. Même
si Omer avoue qu’il lui a fallu une bonne éducation avant d’arriver à ce
résultat : « Quand le Racing marque
il fait le loup. Bon d’accord je l’aide un peu, je lui fais un petit signe. On
a répété ça 10, 15 fois. C’est du boulot mais ça a marché. »

Il paraissait donc évident à Omer qu’Hatchi devait se rendre au stade
de la Meino. Des amis à lui travaillant aux espaces verts de la ville de Strasbourg les ont donc fait entrer discrètement dans l’enceinte : « Je m’en souviens c’était deux jours avant la
montée en Ligue 1 contre Dijon. On était comme des fous » précise Omer. En
revanche on ne saura pas si Hatchi aura marqué son territoire sur la pelouse de
la Meino.

Hatchi n’assiste pas seulement aux matchs du RC Strasbourg Alsace mais
aussi à ceux de son maitre qui joue en division amateur. Il reste sage à regarder
son maitre pendant l’intégralité de la rencontre. Pour récompenser son comportement exemplaire, il lui a construit non pas une niche, mais un
club-house au fond du jardin : « Je me suis ruiné, c’est un palace. Les murs
sont tapissés de photos des joueurs du Racing. »

L’objectif ultime est bien-sûr d’emmener Hatchi voir un match en direct
au stade de la Meino : « Moi mon rêve
c’est de l’emmener voir un match. En vrai. Un jour où il y aura de la neige. Il
adore la neige. Il pourrait venir hurler dans le stade avant la rencontre » commente
Omer. Pour l’instant, et bien qu’il ait activé son réseau, il n’a toujours pas
eu d’accord pour emmener son chien au stade en période de Match.

Enfin, lors du passage d’Emmanuel Macron à St-Dié-des-Vosges (88), Omer
est allé parler de son chien au président pour le sensibiliser sur la cause animal. Il a même proposé d’organiser un rencontre entre Hatchi et Némo le
chien présidentiel. Le président a poliment décliné l’invitation tout en
éclatant de rire.

Pour Omer, il ne manque plus qu’à Hatchi une copine, il l’a d’ailleurs
inscrit sur un site de rencontre : « Je vois bien qu’il a envie de partir en chasse.
Je l’ai même inscrit sur Badoo ».

Si vous souhaitez avoir un chien aussi passionné de sport et de sports canins que Hatchi n’hésitez pas à contacter notre éducateur canin sur Strasbourg et ses alentours (06.05.40.40.45)

Il y a deux
ans, trois étudiantes en communication de l’IAE de Nice décident de lancer le
site internet louer-un-animal-de-compagnie.com, une start-up
imaginaire. Un site purement ironique ayant pour but de choquer l’opinion sur
l’irresponsabilité de certaines personnes considérant leur animal comme ni plus
ni moins qu’un bien de consommation dont on peut se débarrasser facilement.

Cette fausse
start-up fait partie d’une campagne plus importante appelée : #PourLavie
qui comme son nom l’indique a pour but : « d’éveiller les consciences
sur l’animal « objet », victime aujourd’hui de la société de
consommation … Acheter ou Adopter un animal […] c’est être capable
de pouvoir l’élever et subvenir à ses besoins (affectifs et vitaux)
tout au long de sa vie. »

Mais aux
États Unis, pays où la société de consommation est exacerbée, et comme cela
arrive souvent l’ironie devient la réalité. Oui, une start-up Américaine nommé
« rescue time » a osé. On peut traduire son nom par « le
moment de secourir », ce qui nous plonge encore plus dans l’ironie.

Bien-sur, la
start-up se défend de toute accusation de maltraitance animale. Selon eux tout
le monde y trouve son compte à la fois l’animal qui est abandonné et qui
trouve un foyer pour quelque temps voire plus si affinité. Mais aussi pour le
« locataire » qui peut avoir un chien, chat pendant un jour, une
semaine, un mois etc… 

La société
propose même le passage hebdomadaire de 5 chiots ou chatons pour 489$. L’offre
comprend le transport aller-retour de l’animal ainsi que la nourriture, les
jouets, la litière etc…

Mais voilà,
quand on y réfléchit un tout petit peu, on se dit que ces animaux abandonnés
deviennent simplement de la main d’œuvre bon marché (et même gratuite…). C’est
un peu comme si une start-up utilisait des orphelins pour travailler
gratuitement. C’est tout simplement choquant.

Et au-delà
de la question morale, on peut se demander : dans quel état psychique
vont se retrouver ces animaux qui sont baladés entre différents foyers, parfois
plusieurs fois par jour ? Il est fort à parier qu’au fur et à mesure
beaucoup développeront des problèmes comportementaux.

Que se
passera-t-il lorsque l’un de ces chiens qui aura développé l’une de ces difficultés de comportement se retrouvera, pour la location de trop, au milieu
d’enfants ? Que ces derniers n’auront peut-être pas un comportement idéal
avec le chien ? Et si un drame se produit qui accusera-t-on ? Le chien devenu complétement fou et qu’il faut euthanasier ou la société qui
s’est fait un pactole sur son dos sans penser à son bien-être ? 

Si la
réponse parait évidente pour nous Français aujourd’hui, il n’est pas certain
qu’elle le soit pour les Américains de demain. Canibest by l’école des chiens dénonce et dénoncera toujours ce genre de pratique inhumaine et se battra pour
que ce type d’activité n’arrive jamais dans notre pays.

Rocky le Labrador est fier d’avoir enfin trouvé la perle
rare : une truffe ! Si Rocky a réussi cet exploit, c’est grâce à une formation intensive de 3 semaines à « l’université des chiens truffiers ».

Cette école est dirigée par Giovanni Monchiero, un maitre dans
le domaine de l’éducation des chiens truffiers, tout comme l’était son père,
son grand père, son arrière-grand-père avant lui. C’est d’ailleurs son arrière-grand-père qui, en
1880, fonda cette institution.

Pour Giovanni c’est donc un jeu d’enfant que de transformer un chien de famille en chien truffier : « Entraîner un chien à chercher
des truffes est quelque chose de très simple, il faut juste avoir beaucoup de
patience et partir du fait que pour eux, c’est un jeu » souligne-t-il.

Il faut d’abord que le chien joue avec la truffe : « Moi,
j’utilise de la truffe fraîche, mais ceux qui n’en n’ont pas peuvent mettre un
peu d’huile parfumée à la truffe sur une balle de tennis. On la lance, le chien
doit la récupérer et on le récompense avec des croquettes » explique
Giovanni.

Ensuite le jeu se corse un peu, puisque l’éducateur cache la
truffe dans un endroit avec de la végétation et le chien doit la retrouver
grâce à des commandes vocales. Une fois que le chien connait bien l’arôme de la
truffe, l’étape suivante consiste à la mettre peu profondément en terre.

La région d’Alba où se situe cette académie est réputée pour
ses truffes blanches reconnues pour leur parfum intense, « qui évoque les
bois, la nature » affirme Antonio
Degiacomi, président du Centre national d’étude de la truffe.

Même si n’importe quelle race de chien peut devenir chien truffier,  certains ont de meilleures prédispositions pour le cavage. Giovanni éduque seulement quelques chiens à la fois mais
il le fait très efficacement.

Diego Guaraldo le maitre de Rocky le labrador assure que : « Maître
Monchiero est le meilleur de tout le Piémont. C’est déjà le troisième chien que
je lui confie […]Il n’utilise pas de méthodes cruelles comme priver le chien de nourriture, mais des méthodes douces »

Il est en effet très clair que les méthodes de renforcement positif ont montré toute leur efficacité. C’est pour cela que chez Canibest nous éduquons nos amis à quatre pattes seulement avec du jeu, du sport et des récompenses.

Cela fait déjà un an que les habitants de la ville de Jinan dans
l’est de la Chine ont besoin d’un permis
afin d’adopter un chien. Ce permis a les mêmes caractéristiques que notre
permis de conduire Français. A savoir que lors de l’obtention de ce permis, le détenteur
possède 12 points, pouvant être retirés au gré des « infractions »
commises avec son chien.

On peut néanmoins affirmer que le code canin Chinois est encore
plus strict que notre code de la route Français. Bien entendu le ramassage des crottes est obligatoire. Mais il est aussi interdit d’apporter son chien dans un bâtiment
public, un parc, un restaurant et même dans les transports en commun. De plus,
il est obligatoire de tenir constamment son chien en laisse sans que celle-ci ne
dépasse les 1m50.

Il est même prohibé de promener des chiens qui seraient trop
gros dans certains quartiers. Pour continuer la comparaison avec le code de la
route Français, c’est un peu comme si on perdait des points sur notre permis en
conduisant un véhicule trop vieux ou trop délabré dans le 16ème arrondissement de Paris.

Mais ce n’est pas terminé ! Les habitants de Jinan qui
ont été habitué à la politique de l’enfant unique vont désormais avoir le
plaisir de s’acclimater à une politique du chien unique. Jinan n’est pas la
seule ville à appliquer ce genre de mesure en Chine, en revanche c’est celle
qui a la politique la plus sévère. En effet, si vous osez défier l’autorité et
adopter un second chien, celui-ci risque non pas d’être euthanasié mais d’être battus
à mort. Oui, en Chine on fait des économies là où l’on peut.

Heureusement, pas toutes ces infractions sont sanctionnées
de cette façon. D’abord une amende peut être adressée au contrevenant, elle
peut s’élever jusqu’à 500 yuans soit 63 €. Quand on sait que le salaire moyen
Chinois dépasse à peine les 750 €, on se dit qu’il vaut mieux rester dans les
clous.

Il est de surcroit, possible de perdre 3 points pour une 1^èreinfraction et 6 points en cas de récidive. Alors perdre son permis peut être
une affaire rapidement soldée. Dans ce cas-là, il faudra bien sûr, passer un
stage de récupération de points. Un peu à l’image d’une voiture qu’on
immobilise et que l’on met en fourrière, le chien est confisqué par les
autorités et mis en fourrière. Oui, sauf
qu’il existe une infime différence entre un chien et une voiture : le chien a en effet, la particularité d’être VIVANT.

On dénombre à ce jour quelque 100 000 chiens et 400
jardins dans Paris. Seulement parmi ces 400 jardins, seul une dizaine sont
accessibles à nos amis les chiens. Le problème est donc flagrant : les chiens et leur maitre n’ont quasiment aucun endroit ou se balader dans la
capitale.

C’est pourquoi, améliorer le bien-être animal et accroitre la présence de chiens dans Paris est
devenu une priorité pour la mairie. C’est ce qu’explique en tout cas Penelope
Komites, adjointe en charge des espaces verts et de la nature, à l’AFP : « Il
faut faire de
Paris une ville qui accorde toute sa place aux animaux, notamment domestiques ».

Pour atteindre cet objectif, la mairie envisage d’accorder aux chiens tenus en laisse, l’accès à certains parcs et jardins Parisiens. Madame Komites
ajoute qu’une « clause relative au respect du bien-être animal sera introduite dans
tous les contrats de marchés publics ».

Ces mesures pour le bien-être animal ne concernent pas uniquement les chiens puisque même les chats en bénéficieront. En effet, la mairie de Paris voudrait autoriser la construction d’abris pour les chats errants. Il faut
savoir que 285 000 chats errants ont été recensés en 2018 dans la capitale.

Voilà donc de très bonnes nouvelles pour nos animaux de compagnie. Ces
mesures devraient être présentées à la mi-novembre 2018 au conseil de Paris. Espérons
donc que ce beau projet arrive à son terme et le plus rapidement possible.

le Figaro nous annonce que Niels Martin Viuff, un entrepreneur danois, vient de lancer la construction d’un immeuble entièrement réservé aux propriétaires de chiens. Composée de 18 logements, la future « Hundehuset » (« maison des chiens » en danois) sera située au Nord-Ouest de Copenhague.
Selon le figaro « L’idée a germé dans la tête de l’entrepreneur à force de recueillir des témoignages de voisins peinant à trouver un logement acceptant les animaux »
Selon l’entrepreneur ‘Il y a une véritable demande…Les gens sont embêtés par le fait qu’il y a de nombreux lieux où ils ne peuvent pas avoir de chien. Nous voulions donc les accueillir…Un esprit de communauté régnera dans la résidence, en raison de la passion commune qui anime les propriétaires. »
Cette résidence d’un nouveau genre devrait être achevée dans 1 an et chaque appartement de la résidence sera équipé :
– d’un revêtement de sol durable et facile à nettoyer pour les pipi / caca
– d’un jardin, afin que les chiens puissent s’amuser et se détendre
– d’une « salle de bains » spécialement conçue pour les chiens.
L’entrepreneur précise que seuls les chiens de moins 45 kilos seront acceptés dans la résidence (en raison de la taille des appartements).
Par contre les propriétaires de petits chiens seront autorisés à en avoir plusieurs.
Une présélection des candidats sera réalisée afin de s’assurer que chacun respecte le règlement de copropriété.
Les propriétaires de chat pourront également postuler pour intégrer l’immeuble mais ils ne seront pas prioritaires. Par contre, si le projet est un succès, la création d’un immeuble pour propriétaires de chats sera envisagée.
Espérons que ce projet  été étudié à l’aide d’un vétérinaire ou d’un spécialiste du comportement canin.

La ville de Grenoble s’intéresse depuis 20 ans aux bienfaits de l’éducation canine. Depuis la rentrée 2018, la Ville a même créé une école pour chiots.

Un jury composé d’une vétérinaire, des agents de la propreté urbaine et des ressources humaines, et d’un chien ont été en charge de sélectionner le meilleur éducateur canin pour répondre aux besoins des habitants de la ville.
Cet éducateur canin, désormais salarié de la ville de Grenoble, est en charge d’organiser des cours gratuits pour tous les propriétaires de chiens. Apprentissages de base (assis, couché, marche en laisse, rappel), Socialisation, propreté…Tout est mis en place pour permettre une meilleure intégration du chien dans la ville et pour assurer une vraie qualité de vie pour tous.

pourquoi mon chien est encore sale ? pourquoi mon chien a peur des autres chiens ? comment empêcher mon chien de tirer en laisse ? comment empêcher mon chien de sauter ?Comment faire revenir mon chien quand je l’appelle ?
Tant de questions auxquels les grenoblois auront une réponse gratuitement.

Canibest se tient à la disposition des mairies à travers la France pour organiser ce type d’opération, à Paris, à Bordeaux, Rennes, Strasbourg, Toulon… sous la forme de partenariats ou de contrats de prestation.

Depuis la mi-juillet la mairie du XVII ème arrondissement deParis a installé un espace canin porte de Villiers. Ce parc est censé être propice
à l’accueil de nombreux chiens, qui pourraient alors se balader en toute liberté.
Mais les maitres eux ne voient pas cela du même œil et refusent même d’y emmener
leur chien.

Isabelle est l’une d’entre elle, tout en soulignant la très
bonne initiative de la mairie, elle explique son choix de ne pas emmener son Yorkshire dans ce parc : «  C’est sec de chez sec ! ». En effet les
plantations desséchées peuvent avoir un impact très négatif sur la santé duchien. C’est pourquoi elle y emmènera son compagnon lorsqu’il ne risquera plus rien
et que l’herbe sera devenue bien verte.

Quant à elle, Valérie propriétaire d’un Cavalier King Charles de 3 ans a déjà fait les frais d’une pareille situation. Des épillets,
de petits épis qui sèchent lorsqu’ils sont détachés de leur tige, se sont
nichés dans le tympan de son chien Louka. Elle affirme ainsi au journal Le Parisien que ce parc «  est dangereux pour les animaux ».

Le maire de l’arrondissement se veut lui plus rassurant :
« Nous avons connaissance de ce problème et nous avons prévu de faire
retirer cette plante » détaille Geaoffroy Boulard.

Les habitants du quartier aimeraient que non seulement cette
plante soit retirée mais également que l’espace soit amélioré. Par exemple
Jérôme aimerait qu’un sol synthétique soit posé et que le pneu installé soit un
peu moins haut.

Richard, sapeur-pompier, l’un des rare à avoir testé ce parc,
lance à propos de l’installation : « c’est un peu pourri quand même ».
Il poursuit et explique qu’ : « Avant, il y avait un grand terrain en
friche ici. Paradoxalement, depuis qu’il y a un espace exclusivement pour noschiens, plus personne ne vient parce que finalement, ça réduit leur espace de
liberté. »

Geoffroy Boulard reconnait que le lieu est perfectible mais
il assure que cet espace va être amélioré et que d’autres seront créés, l’un
dans le quartier des Batignolles et l’autre place général Catroux. Espérons
donc que cette fois ci ces espaces canins seront parfaitement adaptés pour que
nos amis les chiens se dégourdissent les pattes en toute liberté et surtout en
toute sécurité.

En attendant, nos éducateurs canins vous attendent au bois de Boulogne et de Vincennes.