Nos dernières actualités sur les chiens

Une famille de Brooks dans la province d’Alberta au Canada a
retrouvé son chien, Vader, perdu à 1100kms de chez elle dans la province du
Manitoba grâce à un réseau de bénévoles.

Après un mois de recherches infructueuses sur les routes mais aussi sur les
groupes Facebook spécialisés, les propriétaires de Vader ne s’attendaient pas à
un tel revirement de situation. Jim Third, son maitre avait même planifié un
discours pour expliquer à ses deux jeunes enfants que le chien ne reviendrait
certainement jamais à la maison.

Mais c’est le 2 novembre dernier que le téléphone de la
famille Third sonna. Il était question d’un chien qui ressemblait à Vader,
localisé dans la ville de Steinbach à plus de 1000 kms de chez eux. Mais lorsque
Jim a vu la photo du chien retrouvé, il était certain que c’était le sien.

Il faut dire qu’il n’était pas facile de reconnaitre l’animal car il s’était enfui sans sa médaille d’identification. C’est grâce à des taches particulières sur sa langue
et la position spécifique de ses
oreilles (l’une dressée, l’autre tombante) que les agents de contrôle ont pu
confirmer que le chien appartenait bien à la famille Third. C’est une habitante
de la région qui a accepté d’héberger le chien, le temps de trouver un moyen
pour le rapatrier dans son foyer.

C’est finalement auprès d’un réseau d’une vingtaine de camionneurs
transportant gratuitement des chiens partout aux Etats Unis et au Canada, qu’une
solution a été trouvée. Ce réseau est à la base dédié aux refuges voulant déplacer
des animaux vers un coin du pays où ils auront plus de chance d’être adopté.

C’est Maggie Ray qui se préparait à convoyer des bovins de
Winnipeg (près de Steinbach) jusqu’à une ville proche de brooks dans l’Alberta,
qui a accepté de voyager avec Vader. L’animal a finalement retrouvé sa famille,
étonnement en pleine santé et a repris sa routine dès le lendemain matin.

Vader ne révèlera certainement
jamais comment il a pu parcourir plus de
1000km en 1 mois. Cependant, on peut penser qu’une personne l’ayant vu vagabonder
au bord de l’autoroute l’ai récupéré puis l’ai laissé en route afin d’éviter d’être
accusé de vol.

Du 8 au 12 Novembre dernier s’est tenue à Leipzig
en Allemagne le « world dog show ». Cet événement a réuni plus de 30 000 chiens venant de 73 pays.

Au programme de ces 5 jours, de nombreuses activités pour nos compagnons à quatre pattes ont
été présentées. Parmi elles du « dog diving », une compétition aquatique pour chien réunissant du saut en longueur, en hauteur, mais aussi une
épreuve de rapidité dans l’eau. Ont pu y être également testé un
parcours d’Agility canin, chronométré avec des obstacles variés mais
aussi une épreuve de danse pour chien.

Bien
évidemment, une telle manifestation ne serait rien sans un concours
dédié aux enfants. Ceux-ci ont eu l’occasion de  présenter leur chien et démontrer toute la complicité qu’ils peuvent avoir avec leur compagnon. Ce même concours a eu lieu avec des adultes en solo, duo ou plus. A
l’issue de ces épreuves ont été déterminés les champions du monde des
chiens pour chaque catégorie.

D’autres épreuves
de sport pour chien ont été présentées ainsi qu’un grand nombre de
démonstrations  comme le «  dog frisbee », l’initiation au secourisme
canin ou encore un spectacle comique canin. Des services canins étaient
également proposés comme le pet food ou l’éducation canine.

C’est la septième fois que l’Allemagne accueille ce festival, la culture
canine étant très présente dans le pays. Avec près de 100 000 visiteurs, le « World dog show » a été un grand succès et reste le plus grand salon canin au monde. Sa première édition a eu lieu en 1971 à Budapest,
en Hongrie. Pour les curieux, l’année prochaine le salon se tiendra à
Amsterdam aux Pays-Bas.

Le journal Libération a publié hier un article reprenant la
thématique de l’économie du Petfood. Jérémy Anso opposant aux croquettes industrielles, y dénonce un système « 
presque mafieux ». Il raconte même avoir reçu des intimidations de grands
groupes et de vétérinaires. L’enjeu est de taille puisque le Petfood représente
en moyenne 30% du chiffre d’affaire des vétérinaires. Jérémy Anso s’interroge d’ailleurs
sur : «  la liaison que les vétérinaires entretiennent avec les
industriels ».

Libération explique que dans le cadre de sa stratégie de
partenariat à long terme, Royal Canin le
n°1 mondial du secteur, collabore avec l’association Française des Vétérinaires,
mais aussi avec des écoles agricoles et vétérinaires. Ils y financent par exemple des fêtes et des voyages
et offrent même quelques paquets de croquettes aux étudiants vétérinaires.

Mais ce n’est pas la seule raison pour laquelle ces  grands groupes sont implantés dans le système
éducatif, ajoute le quotidien. Il y a en effet un manque d’enseignants reconnus en nutrition vétérinaire. Et ainsi une obligation pour nombre d’établissements, de faire appel à des intervenants travaillant chez
ces industriels. Et même si ces derniers ne font pas l’apologie des croquettes,
ils n’abordent que très rarement les alternatives comme le « BARF »
une alimentation naturelle à base de viande crue.

Le professeur Paragon considéré comme un « lobbyiste »
ne dément pas recevoir des rétributions de grands groupes lorsqu’il fait une
conférence ou écrit un article. Il affirme cependant dire «  ce qu’il
pense en toute liberté. »

Néanmoins, il n’est pas certain que les normes européennes
soient établies « en toute liberté ». Anne Charlotte Poncet affirme
que ces normes de fabrication européennes sont calquées sur celles du bétail :
« Nos chats et chiens sont des carnivores et ils
ont un besoin vital de viande (50 à 70 % + légumes
+ fruits) et pas de céréales qui les gavent, comme le blé, le maïs,
l’orge.»

Lorsqu’on les accuse d’intervenir dans l’établissement des normes alimentaires, les industriels répondent
qu’il y a plus de soixante règles complexes et qu’il faudrait être naïf pour le
croire. Cependant, libération rappel que, c’est bien la FEDIAF (chambre
syndicale des fabricants d’alimentation animale en Europe) qui travail en
coopération avec la commission européenne dans l’institution des règlements. D’ailleurs
il n’est pas obligatoire pour les fabricants d’afficher le taux de glucide du
produit alors que cet ingrédient peut représenter jusqu’à 50% de la composition.

Il n’est donc pas étonnant de voir que l’espérance de vie de nos animaux a baissé depuis 20 ans..

A Clermont-Ferrand, ce Samedi 4 novembre, deux jeunes âgés
de 17 et 18 ans auraient enlevé un chien en espérant une rançon.

En effet, un jeune homme âgé de seulement 15 ans se serait
endetté auprès des deux suspects pour acquérir des stupéfiants. Il se serait
alors fait agresser dans une cave du quartier Saint-Jacques à Clermont-Ferrand,
par les deux protagonistes voulant récupérer leur dû. Voyant que ce n’était pas
possible, ils lui ont dérobé les clés de l’appartement de sa grande sœur.

Les deux malfrats ont alors aussitôt pénétré l’appartement en
question, ou se trouvait le compagnon de la sœur de la victime. Ce dernier fût
également sauvagement attaqué par les deux individus. Ils sont ensuite repartis
avec quelques objets de valeur, mais surtout avec le chien du couple. Enfin,
ils auraient exigé une rançon de 100 € pour restituer l’animal. Cette  somme correspondant bien sûr à la dette de stupéfiants.

Ils ont été très rapidement interpellés, placés en garde à
vue puis déférés ce mercredi devant le parquet. Le majeur sera convoqué le 10
Janvier prochain devant un juge. Quant à son complice, il a été mis en examen
par un juge des enfants. Tous deux ont été placés sous contrôle judiciaire. Lechien rentré chez ses maitres, ne souffre heureusement d’aucun traumatisme.

Tous les propriétaires de chiens ont une fois entendu parler
des risques d’absorption de produits dangereux pour les chiens (mort aux rats,
chocolat…) Mais on ne se méfie pas assez de produits qui paraissent anodins.

C’est ce qui est arrivé il y a quelques jours à Peter, un
américain du Massachussetts qui sortait
sa jeune Golden retriever de 3 mois dénommée « Zoey ». Lors de cette
promenade, la jeune chienne prit dans sa gueule, seulement une trentaine de
secondes un paquet de cigarette qui trainait par terre. Celui-ci contenait
certainement des opiacés puisqu’elle fut instantanément malade.

Peter se précipita alors avec sa chienne chez sa vétérinaire,
qui reconnut immédiatement les signes d’une overdose et lui sauva la vie.  Le professionnel affirma par la suite que la
jeunesse de cette chienne lui avait permis d’avoir la vie sauve. En effet un chien
en bonne santé n’aurait eu aucun signe précurseur de l’overdose et serait
décédé subitement  quelques temps après à
l’absorption d’une telle substance.

Néanmoins lorsque l’overdose est détectée et traitée à
temps, la guérison est très rapide. En cinq minutes, la chienne était en pleine
forme. « C’était incroyable » raconte Peter. Le vétérinaire lui a simplement
injectée du Naloxone, un spray nasal destiné à l’homme, contre les overdoses.
Elle a en effet suspecté que le chien avait avalé un opiacé synthétique du nom
de Fentanyl, une substance cent fois plus forte que la morphine.

Selon Peter, il y a tout le temps des enfants jouant dans le
quartier et n’importe lequel d’entre eux aurait pu tomber sur ce paquet de
cigarette. Il s’inquiète d’ailleurs pour leur avenir.

Et il n’a pas tort, le Fentanyl fait des ravages en ce
moment, puisque 90 décès humains sont à dénombrer tous les jours aux Etats Unis
suite à l’absorption de ce narcotique. Le président Trump a même déclaré l’Etat
d’urgence sanitaire puisque l’overdose est devenue et de loin la première cause
de décès aux Etats Unis chez les moins de 50 ans. Donald Trump parle ainsi de
la «pire crise liée à la drogue de l’histoire des Etats Unis». Et ce constat ne
prend pas en compte les empoisonnements accidentels de chiens comme celui de
Zoey.

Faites attention à votre toutou !

Chaque année au mois de Mars, se déroule à travers l’Alaska « L’Iditarod », la plus grande course de chiens de traineaux au monde, environ 1600km. Les participants sont appelés « musher ». Cette course à travers la montagne et la toundra, dans le blizzard est une vraie épreuve de force pour les animaux et les participants.

Arrivée 2^nd à l’édition 2017 avec un prix de près de 60.000 dollars, Dallas Seavey avait gagné les trois éditions précédentes éditions et il est encore considéré comme «  le roi des mushers ». Le vainqueur de cette année, qui n’est autre que son père de 57 ans, Mitch Seavey, est arrivé deux heures plus tôt et a empoché un pactole supérieur 70 000 dollars.

Dallas Seavey, est accusé d’avoir dopé ses huskys. Plus précisément avec du Tramadol un puissant antalgique, qui a été retrouvé dans les urines de quatre de ses chiens. Cependant Dallas, dénonce la « corruption » qui gangrène la compétition, il est certain d’avoir été piégé par un ennemi. Et bien que ses chiens ai été contrôlés positifs, il ne pourra pas être sanctionné car l’organisateur doit pouvoir prouver que le produit, a été donné sciemment aux animaux. Dallas conservera ainsi ses gains et son palmarès.

Enfin, certains de ses adversaires ont certifié, que Dallas ne serait pas capable de droguer ses chiens. Jeanne Olson, Vétérinaire, affirme quant à elle donner du Tramadol aux Huskys afin de les soulager, mais ce produit à la particularité d’être soporifique, elle ne voit  donc pas l’intérêt qu’aurait pu avoir Dallas à droguer ses chiens, mis à part de les endormir.

On ne saura peut-être jamais si c’est Dallas qui a dopé ses chiens, ou un de ses concurrents. En tout cas on pourra noter, qu’il n’y a pas seulement le cyclisme qui est touché par des affaires de dopage…

En janvier prochain, Sony commercialisera un
nouveau « robot chien». Grace aux logiciels d’intelligence
artificielle, Aibo, sera capable de courir vers son «  maitre »,
bouger les oreilles, remuer la queue, jouer à la balle, obéir à des ordres
vocaux mais aussi adapter son comportement et les sons qu’il émet à son interlocuteur. Il sera également, censé apprendre de sa
« vie » quotidienne avec les humains et le monde qui l’entoure. De
plus il pourra être connecté, au moyen d’une application sur smartphone avec
son propriétaire et servir également de caméra de surveillance.

« Aibo » signifiant
« partenaire » en Japonais, il est donc davantage perçu comme un « compagnon
de vie », qu’un outil de surveillance. Au Japon, certaines personnes
soutiennent qu’un « lien spirituel » est apparu entre leur
« animal » et eux. Ces adeptes, sont même allés jusqu’à organiser
des cérémonies funéraires dans un temple non loin de Tokyo, afin d’honorer leur robot de compagnie qui ne fonctionnait plus.

Précurseur dans le secteur de l’intelligence
artificielle, Sony a lancé son premier robot chien en 1999. A sa sortie  au
Japon
ils en ont d’ailleurs vendu pas moins de 3000 exemplaires en 20 minutes et 2 000 en 4 jours aux Etats-Unis. Néanmoins avec une arrivée
progressive de concurrents, la marque japonaise aura écoulé, en 7 ans seulement
150 000 exemplaires.

Si un culte, s’est créé au Japon, il n’est pas
certain que ce phénomène soit identique dans beaucoup de sociétés occidentales.
En effet, un robot aussi performant soit-il, ne pourra jamais donner une
affection sincère comme pourrait le faire un animal réel. Les
Français pourraient-ils, à l’instar des Japonais considérer un robot comme un
membre de leur famille ? Il est fort à parier que non. Une société telle
que la nôtre, verrait plutôt ce robot comme un jouet pour enfant ou un compagnon pour chien.

Aibo, sera commercialisé au Japon au prix de 1500
€ avec un abonnement à 23€ par mois.

Lundi 30 Octobre, dans le quartier de l’hippodrome de Nantes aux alentours de 10 heures 30, une dame, âgée de 90 ans, ouvre sa porte à un inconnu.
Celui-ci était là dans l’objectif de lui vendre des tapis, cependant, la veille
dame, propriétaire d’un chihuahua, a refusé de lui en acheter. C’est alors que
le vendeur, mécontent, saisi le petit chien et s’en alla avec, à bord de son
véhicule.

Sans tarder, la nonagénaire compose le 17,  afin de prévenir les forces de l’ordre, en leur donnant une description précise de son chien prénommé Ricket. Il est de couleur marron, tatoué et serait porteur d’un collier avec une clochette. La dame, a cependant refusé de porter plainte,
pensant son chihuahua assez malin pour échapper à son ravisseur.

Son intuition était bonne puisque le soir même, un couple a
retrouvé Ricket près du petit port de Nantes. Ils l’ont emmené chez le
vétérinaire pour l’identification du tatouage et il fût remis à sa propriétaire.
Comment le chihuahua s’est-il retrouvé sur le port ? Seul le vendeur de
tapis et Ricket en ont le secret.

Vendredi dernier une histoire similaire, s’est déroulée dans
le Queens à New York. Une jeune femme a, en effet, profité qu’un Shih tzu de 2 ans,
ai réussi à sortir de sa maison pour le prendre avec elle. Manque de chance,
elle a été filmée par une caméra de surveillance, que la police a diffusé . Et
comble de l’ironie c’est la propre mère de la ravisseuse qui l’a dénoncé. L’animal a ainsi été rendu à ses propriétaires. Bien mal acquis, ne profite jamais…

Avec son flair à toute épreuve, Lulu avait tout pour réussir
une belle carrière au sein de l’agence gouvernementale Américaine. Mais voilà,
après plusieurs semaines d’éducation intensive au repérage d’explosifs, la CIA
a remarqué que la jeune chienne ne s’épanouissait pas dans cette activité.

Ainsi, la CIA décidé de se séparer de sa nouvelle recrue. Pour
tout travail de recherche, lorsque les éducateurs canins constatent que les chiens n’arrivent pas à se concentrer malgré les
diverses récompenses, il est parfois préférable de ne pas s’acharner et d’opter
pour un élève plus ouvert à l’apprentissage.

Heureusement Harry, l’entraineur de Lulu, est tombé amoureux
de son élève et l’a adopté afin de tenir compagne à son fidèle labrador.

La CIA a, de plus publié sur son compte Twitter
officiel : « Lulu
va nous manquer, mais c’était la bonne décision pour elle et
nous lui souhaitons le meilleur dans sa nouvelle vie ! ». Leur démarche
est-elle vraiment sincère ou s’agit-il d’une simple opération de communication…
En tout cas nous souhaitons une vie heureuse à Lulu  le Labrador.

Samedi 21 Octobre et comme
chaque année, l’association Handi’Chiens organisait sa remise annuelle de chiens d’assistance aux personnes en
situation de handicap, à la mairie de Paris

Depuis la création de cette association, c’est
2000 chiens qui ont été éduqués et ont pu améliorer la vie de nombreuses
personnes, qui sans eux, n’auraient pu être à ce point autonome.

Cette étudiante de la Sorbonne qui « reçu » Samedi son Golden retriever,
en est une illustration parfaite, puisqu’elle affirmait avoir repris espoir et
gagné en liberté. Un monsieur dit, quant à lui, ne plus se sentir seul grâce à
son chien, parvenant  à lui transmettre
son énergie.

De plus, les orateurs de l’après-midi ont
insisté sur le fait, que le regard porté sur eux était différent, grâce au chien. Quelqu’un en fauteuil roulant passe près de vous sans chien, vous êtes confus,
avec un chien, le contact devient plus aisé.

Évidemment, éduquer ces héros de tous les jours, de
façon à ce qu’ils s’adaptent à la personne et à son handicap, est très onéreux.
Un chien d’assistance c’est environ 15 000€. Il est, pour commencer confié
à une famille d’accueil durant 16 mois, puis pris en charge dans un centre Handi’chiens, où des éducateurs canins s’emploient au dressage de l’animal.

Le bonheur du chien est toujours primordial,
c’est ce qui lui permettra de s’adapter facilement à son nouveau partenaire.
C’est d’ailleurs souvent lui qui
choisira son maître ou sa maitresse.

Si vous voulez donner un coup de pouce à cette
précieuse association, vous pouvez écrire à l’association, faire un don ou bien devenir
famille d’accueil.

Comme vous le savez, depuis 12 ans, L’École Des Chiens s’occupe avec passion
de ses élèves et pensionnaires canins, avec une méthode d’éducation
unique basée sur le renforcement positif.

En 12 ans, c’est plus de 30.000 chiens que nous avons pris en charge et autant de maîtres que nous avons côtoyés et formés.

Ce succès n’est pas seulement le nôtre, c’est aussi le vôtre.

C’est pourquoi, face aux demandes récurrentes émanant de toute la France, de Belgique, de Suisse… L’École Des Chiens à décidé de développer son concept « CANIBEST » en
franchise.

Il s’agit de la première et de la SEULE franchise d’éducation canine existante.

Selon le code de la franchise, nous proposerons donc :

– une formation (durée variable selon le profil des candidats)

– des outils de communication (une marque reconnue, un site web N°1 sur le marché, papeterie, PLV…)

– un accompagnement avant, pendant et après l’installation

Et si vous aussi, vous deveniez franchisé CANIBEST ?

Contactez nous par mail, en nous décrivant votre projet. Nous vous rappellerons sous 24h pour en discuter et envisager un partenariat éventuel.

Condition animale : le
classement des villes de plus de 100 000 habitants

Le magazine
30 Millions d’amis a noté sur 20 l’insertion des chiens en ville.