Les serpents mordent environ cinq millions de personnes
chaque année dans le monde, causant le décès de 125.000 personnes et entrainant
des blessures graves ou des handicaps chez trois millions d’autres.
Selon l’Organisme mondial de la santé, les morsures de
serpent sont responsables de plus de décès que certaines maladies tropicales.
Environ la moitié des morsures de serpent du monde ont lieu
en Asie. L’inde à elle seule enregistre 50 000 morsures par an.
C’est pourquoi de plus en plus de pays se tournent vers
l’élevage de chiens spécialement dressés à la détection et à la chasse aux
serpents.
Il n’existe aucune race de chiens spécifiquement destinée à
cette mission mais ce sont en général des terriers rapides, doués de réflexes
éclairs et d’une mâchoire puissante (type Jack-Russell)
Ces « chasseurs de serpents » sont issus de
lignées de chiens immunisés contre le venin de serpent depuis des générations
et croisées entre elles afin de conserver cette faculté.
Néanmoins cette aptitude n’est pas suffisante. Attraper un serpent
exige patience et stratégie de la part du chien qui doit trouver l’angle d’attaque
idéal pour ne pas se faire mordre inutilement.
Une fois le serpent fermement maintenu dans la gueule du
chien, ce dernier va secouer violemment le reptile, le frapper contre le sol
afin d’endommager sa colonne vertébrale et détruire son système nerveux.
« The present » la rencontre entre un enfant et un chiot
« The Present » est un magnifique court métrage inspiré d’une
bande dessinée du Brésilien Fabio Coala. Il a été projeté dans 180 festivals de film d’animation
dans le et a remporté plus d’une cinquantaine de prix.
C’est l’histoire d’un petit garçon qui aime jouer aux jeux vidéo et ne s’intéresse
plus à rien d’autre. Jusqu’au jour où sa mère lui offre un “cadeau” qui va
changer sa vie : Un chien
Regardez bien jusqu’au bout…vous allez tout comprendre…et vous serez certainement très émus.
Les fans de chiens et de chats n’ont pas le même caractère
Ci dessus vous découvrez la représentation des différences de caractère entre fans de chiens et fans de chats. Elle a été réalisée par les psy de la société MINDJET et par JESS3.
Beaucoup choisissent leur animal familier selon la taille de leur logement
et leur mode de vie. Les chats seraient plus adaptés aux appartements et aux
petits espaces, alors que les chiens seraient plus adaptés aux maisons. Ainsi
selon les statistiques, les « jeunes cadres dynamiques » vivant en centre-ville
sont plus souvent propriétaires de chat. Les familles qui vivent dans les
banlieues ont des espaces plus grands et donc plus souvent des chiens.
Mais selon Mindjet, il y a également des différences de personnalité entre ces deux
espèces qui, à leur tour, attirent différents types de propriétaires.
Ainsi les chats sont des animaux naturellement solitaires et plus actifs à
l’aube et au crépuscule. Au cours de la journée, les chats semblent sont donc
moins présents avec leur maître. Les chats apprécient leur espace personnel et
détestent recevoir des ordres. D’ailleurs il n’existe pas d’ « éducateur félin
» mais uniquement des comportementalistes.
Selon les psy de Mindjet, les propriétaires de
chats seraient prédisposés au tâches intellectuelles solitaire qui requièrent
un minimum d’interaction sociales. Au travail, les propriétaires de chat
peuvent préférer les bureaux individuels afin d’être dérangés le moins
possible. Parmi les amateurs célèbres de chat on trouvera Raymond Chandler,
Albert Einstein et Sir Winston Churchill.
Les chiens, comme leurs ancêtres les loups, sont à l’inverse des animaux
profondément sociaux. Sans promenades quotidiennes, sans jeu, sans câlin, les
chiens développent vite des troubles du comportement.
Selon Mindjet, les propriétaires de chiens sont des personnes
plus sociables qui apprécient d’avantage le temps passé parmi leurs amis et
leurs collègues. Au travail, elles peuvent préférer un « open-space » et les
grands bureaux dans lesquels les interactions sociales et les exercices de
groupes sont plus nombreux. Le week-end, ces personnes apprécient d’avantage de
s’échapper aux confins de la ville pour rejoindre la nature et profiter des
grands espaces. Parmi les amateurs célèbres de chien on trouve Sir Isaac
Newton, Robert Plant et le Président John Kennedy.
Une excellente série de vidéos « dog friend vs cat friend » a été réalisée pour montrer ces différences de caractère. C’est très drôle et très réaliste.
Voici une vidéo rare et passionnante qui vous montre le quotidien et les méthodes utilsées dans un club de dressage canin dans les années 30.
Vous constaterez que les méthodes d’apprentissage sont exactement identiques à celles pratiqués par ne nombreux clubs et professionels à l’heure actuelle…
Des chiens génétiquement prédisposés aux troubles du comportement
Selon le magazine Sciences et Avenir, les scientifiques pensent
que certains chiens seraient plus enclins à développer des troubles de
comportement. Ils seraient particulièrement prédisposés génétiquement à être
atteint de Troubles Obsessionnels Compulsif.
Ces chercheurs font partie du projet
scientifique « Les chiens de Darwin » qui décrypte l’évolution de l’ADN des chiens avant et depuis leur domestication par l’homme. Vous pouvez retrouver ce projet sur le site web darwinsdogs.org
L’objectif de cette équipe est d’analyser l’ADN
d’un maximum de chiens de toutes races afin de découvrir le secret de leur génome. Les scientifiques espèrent prochainement déterminer quels gènes sont impliqués
dans le développement de TOC chez le chien.
3.000 chiens sont déjà inscrits dans la base de
données des « Chiens de Darwin ». Les chercheurs espèrent commencer leur étude
sur 5.000 chiens dès le mois de Mars de cette année.
Suite à ces recherches, les scientifiques pourraient
pousser leur enquête sur les Hommes afin de trouver l’origine des TOC chez
l’humain.
Nous sommes tombés par hasard sur la récente position de l’Association Canadienne des Médecins Vétérinaires au sujet de la pratique du
« debarking » ou «dévocalisation » en français.
L’ACMV « décourage la dévocalisation des chiens qui aboient à moins
qu’il ne s’agisse de la seule façon d’éviter l’euthanasie et que tous les
autres traitements et méthodes de gestion humanitaires aient échoué. Des
méthodes inhumaines, comme les colliers à choc électrique, ne devraient pas
être utilisées.»
La pratique de la dévocalisation a été interdite en France en 2004 et nous
pensions qu’il en était de même dans tous les pays… Il n’en est rien.
1. qu’est-ce que la dévocalisation ?
Cette procédure cruelle consiste à enlever une partie des cordes vocales d’un chien
pour réduire le volume de ses aboiements. Après avoir été anesthésié,une incision est pratiqué directement dans le larynx de
l’animal.
Le son émis par le chien devient beaucoup plus rauque et donc, moins audible
pour l’oreille humaine.
2. quels sont les risques ?
La dévocalisation peut entraîner des infections multiples, une paralysie
laryngée ou une sténose des voies respiratoires (Le tissu excédentaire cicatriciel
s’accumule dans la gorge du chien, rendant la respiration difficile)
Le chien ne peut plus faire usage de l’aboiement pour prévenir une attaque
ou stopper un comportement. Des lors, on augmente fortement le risque de
morsure, de la part du chien ou de la
part d’un autre chien à son encontre.
Les chiens qui aboyaient en l’absence de leur maître pour exprimer leur
mal-être, le feront d’une autre manière, en détruisant le mobilier ou via des
comportements autocentrés (léchages ou mordillements des pattes). C’est le même principe pour les colliers anti-aboiements.
3. Les arguments des défenseurs de la dévocalisation
Les adeptes du « debarking » considèrent que c’est la meilleure
solution en cas de plaintes du voisinage.
Selon certains d’entre eux les chiens ne se rendent pas compte de la baisse du
volume sonore de leurs aboiements car ils continuent à aboyer. Ils pensent
d’ailleurs que « les chiens dévocalisés sont plus heureux. »
Le vétérinaire Sharon L. Vanderlip, qui a effectué cette opération pendant
plus de 30 ans, déclarait au New York Times en 2010 : « Les chiens récupèrent
immédiatement et ils ne semblent pas se rendre compte de la différence. Je
pense que dans certains cas la dévocalisation peut sauver un chien de
l’euthanasie. Si c’est correctement réalisé, ils se comportent de la même façon et ne semblent avoir aucun problème de santé. »
4. Etat de la législation
La procédure de dévocalisation est totalement interdite, sauf nécessité
médicale (tumeur cancéreuse par exemple) dans les 23 pays ayant signé et
ratifié la convention européenne pour la protection des animaux de compagnie.
Elle est également interdite en Grande-Bretagne.
Aux États-Unis, de nombreux états l’autorisent encore. Le débat est en
cours chez les américains qui vont certainement interdire cette opération barbare d’ici peu.
L’Australie autorise la dévocalisation dans les situations où un chien est
considéré comme « trop pénible pour la collectivité » (plaintes répétées des voisins). Néanmoins il
est précisé que la loi « n’approuve pas la dévocalisation en tant que
remplacement d’une thérapie comportementale ou éducative adaptée. »
La grande majorité des autres pays du monde n’ont aucune législation au
sujet de la dévocalisation, laissant le soin aux vétérinaires de faire selon
leur conscience…
En tant qu’éducateurs canins comportementalistes, nous intervenons chaque année sur des centaines de chiens pour traiter les problèmes d’aboiements. Nous y parvenons parfaitement, dès lors que l’intervention se fait rapidement et que les maîtres s’investissent dans la thérapie comportementale mise en place.
Il s’agit de LA SEULE solution humaine, efficace et pérenne dans le traitement des problèmes d’aboiements.
Sources: The Straits Times, My Paper, The New Paper, AVA, Humane Society
Veterinary Medical Association, National Animal Interest Alliance, The New York
Times, The Huffington Post, Australia’s Victoria State Government,
stopdevocalizationnow.org, Council of Europe Treaty Office
Vous ne savez pas comment occuper votre chien ? Il détruit tous ses jouets en moins de 5mn ?
Nous vous proposons une idée pas chère et très efficace !
Gonflez un ballon à l’aide d’hélium (on en trouve dans les magasins d’articles de fête) et attachez ce ballon au collier de votre chien grâce à une ficèle de 50cm à 2 mètres en fonction de la taille du chien.
Il faut être très précis dans la taille de la ficèle car votre chien doit pouvoir toucher le ballon avec sa truffe mais ne doit pas pouvoir le percer avec ses crocs.
Sur certains chiens (souvent les moins jeunes), il y aura plus de frustration que d’amusement, dans ce cas passez à autre chose. Sinon la durée idéale du jeu est de 15 à 20mn à chaque séance de jeu.
Un centre de toilettage pour chiens du canada emploie des
« câlineurs » professionnels pour prendre soin des animaux en
attendant que leurs propriétaires reviennent les chercher.
«Je cherchais un moyen d’aider les chiens anxieux, alors j’ai pensé à créer
le métier de câlineur et j’ai ensuite collaboré avec le CRDI», a expliqué la
toiletteuse.
En effet, elle a choisi de confier la tâche à quatre jeunes ayant une
déficience ou un trouble intellectuels et envoyés par le Centre de réadaptation
en déficience intellectuelle.
« Dès qu’il y a un chien qui est
anxieux, il contamine le reste de la meute et là, tous les chiens se mettent à
japper, deviennent anxieux et lorsque c’est le temps du toilettage, c’est très
désagréable. Alors l’idée de faire venir quelqu’un qui pourrait les calmer, les
cajoler, m’est venue. »
Les « câlineurs » travaillent
selon leur handicap, des demi-journées ou des journées complètes et diminuent
l’anxiété des chiens par le jeu et les
câlins. Certains participent même au toilettage des animaux.
L’opération connait un tel succès que la toiletteuse se
retrouve avec une liste d’attente de candidats pour devenir câlineur. Elle
demande donc aux employeurs d’ouvrir leurs portes à ces jeunes en provenance du
CRDI.
«Moi
je pense qu’il y a de la place pour ces personnes dans toutes les entreprises,
ne serait-ce que deux heures par semaine. »
«On
a vécu un moment magique avec Simon, qui est trisomique. Un caniche passait
pour un toilettage, il était très anxieux et tirait sans cesse sur sa laisse,
peu importe ce que l’on faisait. Simon a agi instinctivement, il s’est
agenouillé et a mis son front sur celui du chien, ce dernier s’est calmé
instantanément…C’est comme de la zoothérapie… le câlineur aide le chien, mais
le chien aide aussi le câlineur».
Nous venons de découvrir cette « œuvre graphique » réalisée fin 2014 par l’artiste et designer David Mc Candles. Il y établi un classement des chiens grâce à un calcul basé sur l’intelligence, la longévité et les diverses qualités et défauts de nos compagnons à 4 pattes.
L’artiste a également écrit un livre (« Knowledge is Beautiful ») dans lequel il explique son mode de « classement » qui serait basé sur des chiffres de l’American Kennel Club. Il est bien sur largement critiqué par
tous les amateurs de chiens, les éleveurs de races en particulier.
(Cliquez sur la photo pour la voir en grande taille)
Une fois son classement effectué, David Mc Candless a positionné ces différentes races de chiens sur une droite horizontale, le chien le moins bien noté étant placé à gauche (le bouledogue anglais) et le chien le mieux noté étant placé à droite (le border collie).
Il a ensuite positionné plus ou moins haut ces chiens en fonction de la popularité des mêmes races de chiens, le plus populaire étant en haut (le bouledogue anglais) et le moins populaire étant en bas (le chien pharaon)
L’artiste déduit donc de son graphique une incohérence des propriétaires de chiens qui choisissent de passer d’avantage leurs journées avec un bouledogue anglais (chien moins intéressant selon ses calculs) plutôt qu’avec un welsh springer (peu repandu mais hyper rentable selon lui)
Bien évidement cette création reste une œuvre artistique et sert d’avantage à faire parler qu’à réellement apporter une vérité nue.
Il est quand même étonnant qu’un artiste de renom ne prenne pas en compte l’émotion dégagée chez nous par telle ou telle race de chien, les souvenir qui pourraient y être attaché, le rôle que certaines races ont à jouer dans notre quotidien et tant d’autres aspect qui font que plus que tout autre chose, le chien n’est justement pas un objet. Il ne peut donc pas être classifié dans sa globalité selon des critères purement mathématiques.
Déjà le classement des chiens selon leur intelligence, réalisé par le Professeur Stanley Coren était critiquable, mais il avait le mérite d’avoir été fait par des scientifiques…mais alors là…
Grace Webster, présidente de
l’Association des vétérinaires britanniques en Écosse vient de lancer un appels
aux maîtres de chiens et leur demande d’arrêter de leur jeter des bâtons en
bois. Elle conseille aux propriétaires d’utiliser des ustensiles moins dangereux.
Les chiens
subissent « d’horribles blessures lorsqu’ils attrapent à la volée un
bout de bois lancé par leur maître, jeter des bâtons à votre
chien peut être dangereux et entraîner d’horribles blessures qui vous
affecteront vous et votre chien, comme des coupures sur la langue et la gueule,
ou dans la gorge », a-t-elle souligné dans le Times.
Selon elle, « Les
accidents se produisent généralement lorsque le chien essaie d’attraper un
bâton lancé en l’air et l’enfonce dans sa gorge ou sous sa langue ».
La vétérinaire a donné l’exemple d’un colley qui s’est retrouvé avec un bâton
de dix centimètres coincé dans la gorge. « Même quand la blessure est
traitée, des échardes restent souvent fichées et d’autres opérations sont
nécessaires », précise-t-elle.
En tant qu’éducateurs
canins, nous vous conseillons effectivement de préférer un jouet en caoutchouc,
ce que font déjà tous les professionnels depuis longtemps.
EPISODE 2 des différences entre chiens et chats ! On adoreLes autres épisodes icihttps://www.canibest.com/blog/43-les-differences-entre-chien-et-chat/Pour l’éducation de votre chien, des conseils sur https://www.canibest.com